Tomtom Rider 2013 : la promesse
Le nouveau Rider de TomTom se veut plus agréable à utiliser grâce un nouvel écran qui passe de 8,9 cm de diagonale, sur l’ancien Rider, à 10,9 cm sur ce millésime 2013. Le logiciel serait également revu, avec un menu démarrer plus simple et surtout une réactivité encore meilleure. Nous l’avons testé, voici notre verdict.
Tomtom Rider 2013 : la réalité
Physiquement, cette quatrième version du Rider n’est pas franchement innovante. Hormis le changement de taille d’écran, la conception est sensiblement identique à celle des prédécents modèles. On apprécie toujours autant la petite casquette qui limite les reflets du soleil sur l’écran. La dalle est toujours aussi réactive, même lorsqu’elle est pianotée avec des doigts gantés. D’ailleurs TomTom intègre, dans son logiciel, deux formats de claviers virtuels. Le premier est un modèle Azerty, façon clavier de PC. Le second propose huit « grosses » touches, chacune représentant trois ou quatre lettres. Une saisie qui rappelle les « vieux” téléphone mobiles, et adaptée à une utilisation avec des gants d’hiver, mais aussi plus longue.
Vraiment plus agréable
Sur la route, on se rend rapidement compte que le grand écran améliore considérablement le confort d’utilisation. A condition quand même de compléter le GPS avec une oreillette, non fournie. Nous avons testé le nouveau Rider avec un kit stéréo Bluetooth, l’Interphone F5 de cellular Line (200 euros). Néanmoins, il existe des kits moins chers, tels que le Scala Rider Solo de Cardo, accessible pour une centaine d’euros.
Sous ces airs minimalistes, le nouveau menu du Rider est en fait très intuitif et rapide. Il ne comporte que trois icônes permettant instantanément de planifier son parcours ou de gérer ses itinéraires. Comme toujours chez TomTom, les instructions vocales sont précises, la réactivité de l’interface excellente et les itinéraires proposés très pertinents. Nous apprécions aussi la signalisation des “zones de danger”, c’est à dire, pour l’essentiel, la présence de radars.
Des itinéraires beaucoup plus amusants
Pour les balades du week-end, les motards apprécieront la fonction « parcours sinueux » qui, comme son nom l’indique, privilégie les routes tortueuses, beaucoup plus amusantes à pratiquer en moto que les grandes lignes droites. Une vaste communauté de motards met par ailleurs à disposition, en téléchargement gratuit sur Internet, des parcours sur les chemins de traverse. Une rapide recherche de « roadbook » suffira à trouver son bonheur. Le logiciel Tyre, à installer depuis la mémoire interne du Rider sur son ordinateur, permet ensuite d’importer ces fichiers dans la mémoire du GPS. Ce même logiciel dispose d’ailleurs dans sa mémoire de plusieurs centaines de « roadbooks » (80 pour la France). Par ailleurs, il permet de créer très facilement ses propres circuits. Cela se résume à sélectionner des points de passage sur une cartographie Google Maps, qui sont ensuite convertis en un tracé GPS. Il est même possible de visionner votre parcours sur Google Street View et Google Earth pour vous faire une idée de la balade.
Enfin, dernier gros atout, le Rider profite de l’offre de mise à jour de sa cartographie européenne, gratuite sur toute la durée de vie du GPS.
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