Lacie d2 Safe Hard Drive 500 Go : la promesse
Sur un secteur où la concurrence est de plus en plus dense, les disquesdurs de grosse capacité sécurisés, LaCie se devait de proposer unproduit qui assure les fondamentaux et un peu plus encore. Deux pointssont à surveiller : la sécurité des données et lavitesse de transfert, sans, évidemment,amputer la facilité d’utilisation générale ! On a un mis un doigt sur led2 SAFE, voici le résultat de cette prise en main.
Lacie d2 Safe Hard Drive 500 Go : la réalité
Pour accéder au disque, il est nécessaire d’installer un logiciel dédié
(fourni), qui permet de créer jusqu’à cinq comptes d’utilisateurs avec des
droits personnalisés (lecture, écriture, etc.). Que ce soit sous Mac OS X ou
Windows, une icône se place alors dans la barre de menus ou la zone de
notification de la barre de tâches pour indiquer l’état du disque : connecté et
verrouillé, connecté et déverrouillé, déconnecté. De cette manière, on sait en
un clin d’œil si tout se passe bien.
Après enregistrement des empreintes digitales, il suffit de passer un des
doigts enregistrés sur le lecteur pour accéder, ou au contraire bloquer l’accès
au contenu du disque. Cette première sécurité est donc quasi transparente,
presque ludique.
La seconde sécurité, le chiffrement AES à la volée, est efficace et
discrète, à tel point qu’elle ne semble pas altérer les taux de transferts. Les
débits obtenus sont de haute tenue, d’autant que ce disque offre une belle
triplette côté connectique avec un port USB 2.0, un port FireWire 400 et deux
ports FireWire 800 (un pour la connexion à la machine et le second pour
brancher un autre disque, par exemple).
Notons que, dans la course au débit, Mac OS X prend l’avantage sur Windows
en tirant meilleur parti des interfaces FireWire – les vitesses varient presque
du simple au double. En FireWire 800, comptez 20 secondes pour transférer 690
Mo de fichiers avec Mac OS X et presque 40 secondes avec Windows XP.
En revanche, lorsque le disque est formaté en FAT32 afin d’être accessible tant
par l’OS de Microsoft que par celui d’Apple, Mac OS X a eu des difficultés pour
monter le disque connecté en FireWire 400 et 800. Un souci qu’une réouverture
de la session de travail résout systématiquement.
Enfin, le logiciel de sauvegarde livré avec le disque nous a semblé basique,
même s’il permet de définir un ou plusieurs répertoires sources à sauver sur le
disque. Si sa configuration et son utilisation sont extrêmement simples, on
regrette, en effet, qu’il n’y ait pas de moyen d’automatiser le processus de
sauvegarde. Quoi qu’il en soit, il existe des logiciels gratuits, ou peu
coûteux, qui satisferont ce besoin.
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