hp Pavilion dv7-1040 : la promesse
Les annonces sont nombreuses chez HP. Ordinateurs de bureau ouportables, de 400 à 1300 euros, il y en a pour tout les goûts. Enmatière de PC portables, ou plutôt de transportables, la série dv7retient l’attention. Nouveau châssis, nouvelle plate-forme IntelCentrino 2 et niveau d’équipement revu à la hausse: ces portables auformat 17 pouces ont de nombreux atouts. Nous avons testé l’une des quatre configurations proposées, le Pavilion dv7-1040.
hp Pavilion dv7-1040 : la réalité
Une coque qui brille et qui se salit
Concernant la finition du produit, on s’accorde à dire que les charnières sont robustes, que la prise en main inspire confiance (la coque ne
craque pas), que l’assemblage de la machine est de qualité et que les
formes – tout en rondeurs – sont agréables au touché. Toutefois, on
ne peut pas être aussi unanime concernant le revêtement laqué de la machine
ou encore l’aspect miroir du touchpad. Une chose est sûre, tout
cela est original et tape-à-l’œil. Mais c’est aussi remarquable
que désagréable.
Les traces de doigts deviennent omniprésentes dès les
premières heures d’utilisation. En revanche, on apprécie
la réactivité du pavé sensitif. Le doigt glisse facilement, et les
déplacements sont fluides et rapides. Du côté du clavier, rien à
redire, ce portable de 17 pouces est assurément confortable à utiliser.
Un transportable taillé pour le jeu…
HP propose avec ce Pavilion dv7-1040 une machine bien
balancée. Vendue moins de 900 euros, elle repose sur une base solide appréciable:
un processeur Intel Core 2 Duo P7350 et 3 Go de mémoire vive. Dès lors, grâce à son bon circuit graphique – un Nvidia GeForce 9600M GT –, il est
tout à fait possible d’utiliser les derniers jeux en date.
D’un Crysis
dans une définition de 1024 x 768 pixels à un Call Of Duty 4 en haute
définition (1440 x 900 pixels sans antialiasing), en passant par un
Unreal Tournament III avec tous les paramètres graphiques poussés à
fond, ce portable ne montre pas de signe de faiblesse. Et pour les
autres types de jeux, aucun problème non plus!
Ce Pavilion dv7-1040
fait tourner Colin McRae Dirt (course automobile) ou Tomb Raider sans
problème. En fait, son score de 4344 au 3D Mark 06 et son indice
Windows Vista de 5,3 pour la partie graphique de jeu parlent d’eux-mêmes. Seul regret, la dalle de 17 pouces, bien que lumineuse et plutôt
riche en contraste, offre un revêtement brillant qui peut
se révéler désagréable dans certains cas.
… et pour le multimédia
A son large écran de 17 pouces de
diagonale (43 cm) s’ajoute un système audio 2.1 très agréable. Même s’il n’est pas
spécialement très puissant, la présence de son petit caisson de basse,
aussi minimaliste soit-il, suffit à donner de la richesse au son. Dès
lors, on ne craint plus de pousser le volume à fond. D’autre part,
l’autonomie fait indéniablement partie des points forts de cette
machine. Grâce à sa batterie de huit cellules, on atteint les 2 h 15 min en lecture de DVD.
Un équipement annexe bien conçu
Désormais, les constructeurs de PC portables disposent la connectique
sur les flancs gauche et droit de la machine. A l’usage, ce type de
détail se révèle un atout indiscutable. Plus besoin de tourner la machine, qui pèse ici près de 3,5 kg, pour enficher la prise du chargeur secteur ni de tâtonner pour ajouter son périphérique USB. Plate-forme Centrino 2
oblige, le Wi-Fi 802.11n est de mise. A une portée presque trois fois
plus grande s’ajoute un débit plus élevé et surtout plus stable. Dès
lors, télécharger des gigaoctets de données en Wi-Fi n’est plus une
opération pénible, à condition que la connexion Internet suive.
Autre
détail que l’on apprécie: le système de protection du disque dur, jusqu’alors réservé aux machines ultraportables.
Une sécurité indispensable au cas où la bête vous échapperait des
mains. Rien à signaler du côté de la webcam, qui fournit des images très
correctes et surtout suffisantes pour chatter sur le Net. Les micros
stéréo se chargent de capturer les sons avec une grande netteté.
Un beau design au détriment de la sécurité?
Comme toujours lors de nos tests, nous attachons les machines par des
câbles Kensington. Ce Pavilion dv7-1040 a pour sa part souhaité rester
libre. En effet, au moment d’attacher le câble, son embout métallique s’est cassé dans la coque quand nous avons tourné la
clé. La raison est subtile: l’emplacement Kensington présent sur le PC
portable est trop enfoncé dans la coque pour que le câble s’accroche
correctement. Cela semble dû aux bords légèrement incurvés de la coque.
Manque de chance ou problème de câble, c’est bien la première fois que
nous constatons ce problème…
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