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Test MobiWire Pegasus, le smartphone qui crève l’écran

Le Pegasus est un smartphone 4G conçu par le français Mobiwire, commercialisé seulement 160 euros. Son truc à lui ? Un écran exceptionnel.

L'avis de 01net.com

Mobiwire Pegasus

Autonomie & charge

0 / 5

Affichage

1.5 / 5

Photo & vidéo

2.5 / 5

Appréciation générale

3 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 21/10/2014

Voir le verdict

Fiche technique

Mobiwire Pegasus

Mémoire vive 1 Go
Taille 5 "
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Mobiwire Pegasus : la promesse

La nouveauté made in France se nomme MobiWire Pegasus. Derrière ce nom se cache un smartphone de milieu de gamme compatible 4G, tournant sous Android 4.4 et qui embarque un écran très surprenant.

Mobiwire Pegasus : la réalité

Pour 160 euros, le MobiWire Pegasus affiche une fiche technique des plus honorables. Si certaines fonctions sont à la peine, l’écran est la très bonne surprise.

Un écran pour les dominer tous

On ne pensait pas trouver une dalle aussi impressionnante sur le MobiWire Pegasus. Alors que la concurrence à ce même prix affiche souvent une résolution moyenne ou un contraste trop juste, la dalle du Pegasus figure parmi les plus performantes du marché. La diagonale de 5 pouces est épaulée par une résolution de 1280 x 720 pixels. Avec 553 cd/m², la luminosité explose les compteurs. Le contraste plafonne à 1349 :1 et le rendu est magnifique. Pour ne rien gâcher, les angles de vision sont larges et même en plein soleil, l’écran reste parfaitement lisible.

Les joies de la 4G sans celles de l’autonomie

La compatibilité 4G du MobiWire Pegasus associée à son prix de vente très intéressant ravira les surfeurs qui veulent naviguer sans patienter et surtout sans dépenser des fortunes. C’est la présence du processeur MediaTek 6582 qui permet de voir le prix chuter à 160 euros. La cadence à 1,3 GHz ne trouve ses limites que lorsque le terminal est poussé dans ses retranchements. En 4G, les performances sont presque identiques à celles d’un smartphone plus haut de gamme. Après les réjouissances, place aux déconvenues. L’autonomie est décevante, surtout en communication et en lecture vidéo (6h10 seulement). Terminons par la photo qui se capture en 8 millions de pixels. Dommage que le capteur ait une nette tendance à la surexposition. Le piqué manque également de précision. Un défaut qui s’accentue dès que les conditions lumineuses diminuent. Seules les couleurs s’en sortent convenablement.

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