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Test Kodak PlaySport Zx5 : le caméscope pour les aventuriers

Vous ne tournerez sans doute pas la prochaine palme d’or avec cette caméra. Mais la robustesse est bien au rendez-vous.

L'avis de 01net.com

Kodak PlaySport Zx5

Les plus

  • + L'étanchéité à 3 m
  • + La résistance aux chocs et à la poussière
  • + La vidéo 1080p
  • + La photo en 5 mégapixels
  • + Le partage facilité via un bouton

Les moins

  • - Rien

Qualité vidéo

3 / 5

Ergonomie et fonctionnalités

3.5 / 5

Autonomie

4.5 / 5

Appréciation générale

4 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 05/07/2011

Voir le verdict

Fiche technique

Kodak PlaySport Zx5

Type de capteur CMOS
Support cartes mémoire SDHC
Voir la fiche complète

Kodak PlaySport Zx5 : la promesse

Le caméscope Kodak Zx5 résiste aux chocs et est censé supporter les chutes jusqu’à une hauteur de 1,50 m. Mieux encore, il est également étanche jusqu’à une profondeur de 3 m. Robuste, cette caméra tout-terrain se veut également sociale, avec une touche spéciale pour partager ses vidéos ou photos sur les réseaux sociaux.

Kodak PlaySport Zx5 : la réalité

Nous avons reçu pour test la version noire du Zx5. Une robe qui a le mérite d’être bien plus discrète que les versions blanche, rouge, verte et bleue également disponibles. Forcément plus volumineux que les modèles non renforcés, l’objet possède la taille d’un gros smartphone. Son revêtement mat lavable d’un coup d’éponge est agréable au toucher et l’appareil tient bien en main.
Il sait se faire particulièrement discret. Pour la photo, aucun flash n’est présent. Seul le microphone, qui jouxte l’objectif, est visible en façade. Les connecteurs sont dissimulés sous deux ailettes dépliables disposées de chaque côté de la coque. Un système de cache interne en caoutchouc assure l’étanchéité. Les prises mini-HDMI et micro-USB d’un côté et le logement pour carte SD de l’autre, sont ainsi parfaitement protégés.
Au dos de l’appareil on ne trouve pas d’écran tactile, mais quatre boutons (dont le fameux dédié aux réseaux sociaux) ainsi qu’un pavé directionnel à quatre directions agrémenté d’un bouton multifonction central.

Pas mal pour une optique fixe !

Devant répondre à des conditions d’utilisation extrêmes, le Zx5 ne peut se permettre certains raffinements réservés à des matériels bien plus fragiles. Ainsi, l’optique est fixe et le zoom reste numérique, donc assez mauvais. En dehors de ce détail, les vidéos en 1080p jouissent d’un bon niveau de détail. La mise au point se fait assez rapidement et aucune saccade n’est à déplorer. En intérieur, le Zx5 s’en sort bien, mais il reste à la peine en basse lumière, ce qui est somme toute bien normal. Sous l’eau, un filtre spécial est censé améliorer la prise de vue en réchauffant les couleurs. La prise de son s’avère quant à elle très moyenne. Pour votre chef-d’œuvre du septième art, il faudra compenser en post-production !
En photo, il ne faut pas non plus s’attendre à des miracles. Cela dit, ce petit Kodak peut dépanner. Par défaut l’image tire légèrement vers le bleu, mais rien de rédhibitoire non plus. Là aussi, comparé à d’autres, l’appareil photo de cinq mégapixels s’en sort plutôt bien. Sauf, encore une fois, en basse lumière.

Robuste et accessoirisé

L’avons-nous fait tomber, l’avons-nous immergé ? Oui et plutôt dix fois qu’une ! A part un blocage facilement déjoué par un appui sur la touche Reset, le Zx5 n’a pas bronché.
Pour emmener partout avec soi son caméscope antichoc, des accessoires sont disponibles. On trouve ainsi une fixation pour vélo, un minitrépied articulé capable de s’accrocher partout et enfin, l’indispensable dragonne flottante pour filmer dans les vagues sans risquer de voir disparaître son appareil.

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