Lexmark C543dn : la promesse
Imprimer vite et bien avec un faible cout à la page tout en restant simple et agréable à utiliser était l’idée de départ de cette imprimante laser couleur de Lexmark. La C543dn parvient-elle à réunir toutes ces conditions ? Pour le découvrir, nous l’avons mise à l’épreuve. Voyons ce qu’il en est.
Lexmark C543dn : la réalité
Force est d’avouer qu’au niveau du design, la Lexmark C543dn n’a pas beaucoup évolué. Elle est toujours aussi rustique et conserve son aspect imprimante des années 60-70. Heureusement que – depuis – son contenu a évolué et adopté un moteur d’impression capable de débiter jusqu’à 20 pages à la minute aussi bien en N&B qu’en couleur.
Une imprimante qui assure la quantité mais pas la qualité
Nos tests le confirment, puisque nous obtenons nos 20 pages de texte N&B en seulement 1min 09sec soit environ 17,4 ppm et notre document mixte de 20 pages couleurs en 1min 37sec soit 12,4 ppm, ce qui n’est pas si mal. D’autant que cette C543dn ne met que 37 secondes pour sortir une photo couleur 10 x 15 cm sans bordure.
La qualité de ces impressions n’est en revanche pas le point fort de cette imprimante : trop sombre et manquant de contraste en mode graphique, elle ne convient que pour un usage bureautique pour imprimer des textes, des tableaux, des courbes et des camemberts.
Bon niveau d’équipement mais peut mieux faire
Coté équipement, il faut avouer que cette Lexmark n’est pas en reste. Mais elle ne dispose toutefois que de l’essentiel. Ainsi, elle embarque un moteur d’impression couleur rapide et précis de 20 ppm en 1200 ppp, un dispositif d’impression recto/verso automatique et une double interface USB 2.0 et réseau Ethernet. On regrette seulement que cet équipement n’intègre pas également une interface WiFi ou un port USB Host pour l’impression directe de documents depuis une clé USB.
Une imprimante gourmande et bruyante
Critères importants pour une imprimante dite professionnelle : la consommation énergétique et la nuisance sonore. Ici, la C543dn n’est pas vraiment gâtée car elle se montre vorace en watts et généreuse en décibels (près de 1160 watts en pointe et plus de 62 dB en cours d’impression). Au bout d’une longue et harassante journée de travail, cela s’en ressent.
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