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Test de la phablette Andy A6M de Yezz : trop de faiblesses pour son prix

Vendu environ 300 euros sur le marché, ce smartphone 6 pouces au format phablette est trop limité dans beaucoup de domaines pour justifier son tarif.

L'avis de 01net.com

Yezz Andy A6M

Affichage

0.5 / 5

Photo & vidéo

3 / 5

Appréciation générale

2 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 18/03/2014

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Fiche technique

Yezz Andy A6M

Mémoire vive 1 Go
Taille 6 "
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Yezz Andy A6M : la promesse

La phablette Andy A6M de la marque Yezz débarque sur le marché français pour tenter de charmer l’utilisateur grâce à son tarif serré de 300 euros. Nous avons souhaité savoir si cet appareil double SIM est aussi intéressant qu’annoncé.

Yezz Andy A6M : la réalité

Côté design l’appareil affiche une esthétique et des matériaux on ne peut plus banals. Seule qualité remarquable : la coque arrière adopte un plastique mat, peu glissant et peu sensible aux traces de doigts. Pour le reste, les finitions sont correctes, mais l’appareil reste d’une sobriété… un peu excessive.

Equipement insuffisant

Le processeur du smartphone Yezz Andy A6M est un double cœur peu puissant (Cortex-A7), intégrant un circuit graphique vieillissant (Mali-400 double coeur), épaulé par 1 Go de mémoire vive, et une petite capacité de stockage interne (2650 Mo libres). Avec une configuration si faible, il faudra se limiter à des applications basiques. Oubliez les jeux en 3D perfectionnés. Notez enfin que l’écran n’offre qu’une définition de 540 x 960 pixels sur une diagonale de 6 pouces, c’est très limite (résolution de seulement 181 ppp)…
La batterie est aussi sous-dimensionnée par rapport à la concurrence et le smartphone ne fait pas de d’étincelles en termes d’autonomie : moins de 8 heures écran allumé, alors que les autres phablettes du marché dépassent allègrement les 10 heures.

Logiciel peu séduisant

Le système Android 4.2.2 de l’appareil est très peu retouché par le fabricant. Seuls les icônes changent de look (sans grande amélioration…) et le volet de notification est légèrement refait, sans grands ajouts toutefois. Rien de bien réjouissant, en somme. La bonne nouvelle, c’est que l’interface reste plutôt fluide et réactive, dans les applications et les pages web, et que l’écran affiche une qualité correcte (404 cd/m² de luminosité, taux de contraste de 1036:1), malgré sa très faible définition.
Côté photo et vidéo, aucune étincelle à signaler non plus. Les images ne sont toutefois pas mauvaises, elles restent dans la moyenne du secteur, mais le capteur 13,1 mégapixels de l’appareil reste très loin des meilleurs.

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