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Test : Bluboo Xfire, l’illusion du smartphone 4G à 120 euros

Il est toujours très intéressant de se dire qu’on peut acheter un téléphone 4G pour à peine plus de 100 euros. C’est ce que propose le Bluboo Xfire vendu 120 euros. Et si cela n’était pourtant pas une affaire ?

L'avis de 01net.com

Bluboo Xfire

Autonomie & charge

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Affichage

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Photo & vidéo

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Appréciation générale

2 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 27/11/2015

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Fiche technique

Bluboo Xfire

Mémoire vive 1 Go
Taille 5 "
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Bluboo Xfire : la promesse

Un smartphone 4G à moins de 120 euros ? C’est ce que propose le confidentiel constructeur chinois Bluboo avec ce Xfire (disponible via l’importateur français Phonedroid.fr). Peut-on s’attendre à un miracle avec un si petit budget ? 01net.com l’a testé.

Bluboo Xfire : la réalité

Avec un prix aussi bas, difficile de proposer des matériaux nobles. Le Xfire est ainsi entièrement conçu en plastique d’une qualité plus que discutable. Les traces de doigts y sont très visibles, tout comme sur l’écran, certainement pas oléophobe. Ce dernier est relativement lumineux (422 cd/m2), mais elles se révèlent très vite lorsqu’on manipule le smartphone.

Avec une définition de 960 x 540 pixels, la dalle de 5 pouces n’affiche ainsi qu’une résolution de 220 pixels par pouces qui a du mal à reproduire des textes complètement nets. Un écran assez basique donc et par ailleurs en manque de réactivité. Les lenteurs sont fréquentes, on se surprend à appuyer parfois plusieurs fois sur les icônes tactiles pour les déclencher.

Oubliez la photo

Difficile également de jouer à des jeux 3D trop poussés avec le Xfire. Son Mediatek MTK6735M a du mal à suivre la cadence avec notamment tout juste 30 FPS à Epic Citadel. On se limitera donc à du « casual gaming » pour lequel ce modèle de Bluboo suffira amplement.

En revanche, mieux vaut abandonner complètement la photo. Impossible d’obtenir un cliché digne de ce nom, même si la scène est lumineuse, alors imaginez si elle est plongée dans l’obscurité. L’objectif a un mal fou à faire le point et produit ainsi des clichés essentiellement flous. Même chose du côté de la vidéo : floue, saccadée et déformée dès que le mouvement de caméra s’accélère.

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