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Test : Apple Watch 42 mm (bracelet acier)

Après avoir imposé au monde sa propre définition du baladeur, du smartphone et de la tablette, Apple s’attaque aujourd’hui à la montre. Une révolution de plus ? Ou la révolution de trop ?

L'avis de 01net.com

Apple Watch 42 mm (acier)

Conception

4 / 5

Autonomie

2.5 / 5

Fonctions

4 / 5

Equipement

4 / 5

Appréciation générale

3.5 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 07/05/2015

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Fiche technique

Apple Watch 42 mm (acier)

Système watchOS
Systèmes compatibles iOS
Magasin d'applications App Store
Processeur Apple S1
Capacité de stockage disponible 4000 Mo
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Apple Watch 42 mm (acier) : la promesse

Il y avait le baladeur MP3, il y eut l’iPod. Il y avait le téléphone, et puis l’iPhone… Depuis le lancement de sa première arme de destruction massive (de la concurrence) en 2001, Apple a pris l’habitude de redéfinir en profondeur les contours des marchés sur lesquels il s’est penché. Mais jusqu’à présent, ces marchés étaient tous liés aux nouvelles technologies, tous animés par des acteurs high-tech traditionnels : Sony pour le Walkman, Microsoft pour les tablettes, Nokia et consorts pour la téléphonie mobile. Et toutes ses tentatives se sont soldées par de belles réussites. Avec l’Apple Watch, la situation est différente. Il s’agit de donner un nouveau coup de fouet numérique à des objets dont la dernière révolution grand public majeure est l’arrivée des écrans à cristaux liquides, voilà plus de 30 ans. Comment Apple compte-t-elle révolutionner le genre ? Avec ses armes habituelles, qui finalement sont aussi celles des horlogers traditionnels : le design, l’ergonomie et l’ingénierie, la puissance marketing en plus. Alors, l’Apple Watch remet-elle les pendules à l’heure ?

(Crédit photo : Laurie Gouars)

Apple Watch 42 mm (acier) : la réalité

Le design de l’Apple Watch ne plaira pas à tout le monde. Et à vrai dire, notre premier contact visuel avec l’engin nous avait laissés plutôt perplexes. Un écran carré entouré de bordures assez larges, une certaine épaisseur et un boîtier métallique aux lignes arrondies qui rappellent forcément celles du tout premier iPhone lancé en 2007. Un clin d’oeil ? Peut-être, n’empêche que la montre affiche du coup un côté boudiné assez inattendu, surtout dans sa version 38 mm, la plus compacte. Pourtant elle n’est pas franchement plus épaisse que les autres montres connectées du camp d’en face : 1,21 cm pour la Watch contre 1,15 cm pour la Motorola Moto 360 ou 0,97 cm pour la LG G Watch R.

Non, la vraie raison de notre étonnement, c’est qu’Apple n’a pas cherché à faire mieux que ses concurrents sur ce point. En attendant éventuellement sa version Air, au moins cette Apple Watch bénéficie de tout le savoir-faire de la marque en termes de design et de conception.

Notre Apple Watch de test est le modèle intermédiaire, dans sa version équipée d’un bracelet en acier à maillons. La finition est tout simplement irréprochable : rien ne dépasse, l’assemblage est parfait, et l’ensemble dégage une sensation assez proche de celle offerte par les montres classiques les plus haut de gamme. À 1 200 euros, on n’en attendait pas moins certes, mais après une semaine d’utilisation intensive et quasi permanente, le cadran est resté intacte, sans la moindre rayure.

Le cadran en cristal de saphir est resté vierge de toute rayure après une semaine d’utilisation.

On le doit au verre en cristal de saphir, le deuxième matériau transparent le plus solide au monde, nous dit-on, après le diamant. On ne peut pas en dire autant du bracelet en acier qui arbore plusieurs marques de choc après quelques jours seulement à notre poignet. Et nous n’avons pas pratiqué d’activités spécialement à risque (maçonnerie, menuiserie, rami… ).

Le bracelet en acier, lui, n’a pas aussi bien resisté. Dommage, pour un bracelet à 499 euros.

Celles-ci étaient-elles évitables ? Une Rolex ou une Patek Philippe du même prix auraient-elles été marquées de la sorte ? Un professionnel de l’horlogerie haut de gamme nous confie que c’est peu probable. Les allergiques aux rayures se tourneront plutôt vers l’un des deux bracelets en cuir d’Apple. Bonne nouvelle, il leur en coûtera près de 350 euros de moins. Notez qu’il n’est pas possible de troquer un bracelet Apple pour un modèle standard, contrairement à la plupart des montres Android Wear du marché. Il faudra passer par l’Apple Store ou bien patienter, le temps que des accessoiristes (officiels ou pas) se penchent sur la question.

Le bracelet muni de maillons en acier reste un modèle de praticité. Inutile en effet de passer par des outils d’horlogers pour retirer ou ajouter des maillons. Apple a conçu un système de fixation que de simples boutons situés sous les maillons suffisent à actionner. Une merveille de bon sens et d’ingéniosité… à 499 € euros pièce.

Dernier point enfin sur le bracelet en acier : la face cachée de la Watch dissimule un capteur de fréquences cardiaques, raison pour laquelle Apple préconise d’ajuster le bracelet au plus près du poignet. Seulement, tout corps humain est soumis à un phénomène biologique étrange auquel on peut pas grand chose : il enfle. Même au poignet. À certaines heures de la journée, la Watch s’avère donc un peu moins agréable à porter avec le bracelet en acier. La solution consisterait à ajouter un maillon, mais la précision de l’éléctrofréquencemètre pourrait en pâtir.

Un écran quasi parfait

L’écran est un élément primordial pour une montre connectée, et celui d’Apple est largement à la hauteur. On distingue à peine les pixels de sa matrice grâce à sa résolution Retina, et sa dalle OLED affiche un taux de contraste infini.

L’écran OLED de l’Apple Watch s’avère très confortable au quotidien.

Résultat, les noirs sont profonds, ce qui met d’autant plus en valeur les caractères affichés. Un régal. Et si la luminosité enregistrée par notre sonde est modeste (212 cd/m2), elle est à l’usage largement suffisante.

Un nouvel environnement à apprivoiser

Habitués des produits Apple ou pas, les propriétaires de l’Apple Watch repartiront tous de zéro tant son interface ne rappelle rien de ce qui est sorti des bureaux de Cupertino jusqu’à présent. Plutôt déroutant donc, mais on s’accommode finalement assez vite de la logique générale après quelques jours d’utilisation. Pour faire simple, la Watch propose 5 espaces et 3 façons de les parcourir.

Accueil. Le cadran indiquant l’heure constitue l’accueil, et s’affiche par défaut. Apple propose 10 cadrans que l’on peut personnaliser à loisir avec des « complications », le terme d’horlogerie qui désigne ces petites zones indiquant le jour, l’année ou un fuseau horaire alternatif. Apple permet également de modifier la couleur des éléments affichés, ou du fond selon les cadrans.

L’espace de personnalisation des cadrans de l’Apple Watch.

Les possibilités sont très nombreuses donc, mais sur ce point Google fait mieux puisque n’importe quel développeur peut aujourd’hui créer des « watch faces » et les rendre disponibles sur le Play Store d’Android Wear. La même chose chez Apple, dans un second temps peut-être ?

Notifications. Autre espace majeur, la zone de notifications, à laquelle on accède en glissant son doigt sur le cadran du haut vers le bas. Rien de particulier ici, si ce n’est que, comme avec un iPhone sous iOS 8, il est possible de répondre à un message directement depuis cette zone si les développeurs ont prévu le cas de figure.

La zone de notifications du système, plus ou moins pratique selon les applis.

Notez aussi qu’ignorer une notification sur la Watch est moins facile que sur l’iPhone (ou l’iPad). Alors qu’un simple appui sur une croix permet de le faire sur le smartphone d’Apple, il faut ici « ouvrir » la notification et sélectionner « ok ». On aurait, par exemple, préféré les ignorer en les glissant simplement vers la droite ou la gauche depuis l’écran tactile.

Coups d’oeil. Apple a également introduit avec sa Watch le principe des « coups d’oeil ». Accessibles en glissant son doigt sur le cadran du bas vers la haut, ils sont en fait des versions condensées d’applications présentes dans la Watch. L’utilisateur peut choisir ceux qu’il souhaite installer dans cette zone, et supprimer ceux dont il estime n’avoir jamais besoin.

Les coups d’oeil sont des versions condensées des applications, accessibles facilement depuis l’écran d’accueil de la montre.

En cela, l’OS marque sa différence avec Android Wear. Le système de Google est surtout basé sur les notifications, et l’accès « manuel » à des applications depuis la montre n’est pas du tout quelque chose de prioritaire. Il suffit de voir à quel niveau est située la commande « Démarrer… » d’Android Wear : tout au bas d’un menu long comme le bras accessible en tapotant sur l’écran d’accueil du système. Les « coups d’oeil », donc, donnent un accès rapide et permanent aux infos pertinentes pour l’utilisateur. Et au quotidien, ils offrent un vrai plus.

Menu. Quatrième zone majeure du système de l’Apple Watch, le menu des applications. Et comme les coups d’oeil, le menu illustre une différence fondamentale entre le système d’Apple et Android Wear, qui ne propose rien de tel.

Les fonctions, services, outils et applications de la Watch sont tous disponibles via ce menu accessible en appuyant sur la couronne située sur le flanc droit. On peut donc en quelques secondes accéder à ses mails, à ses SMS, à ses photos, ce qui est pour l’heure impossible avec Android Wear. Alors certes le petit écran ne vaut pas celui d’un smartphone en termes de confort de lecture, mais il permet tout de même de jeter un oeil rapide à quelques données essentielles en cas de besoin.

Amis. Le dernier espace important du système de la Watch est accessible via le bouton latéral du boîtier. Il affiche jusqu’à 12 contacts favoris : ceux enregistrés dans l’iPhone ou bien ceux que l’on pourra définir manuellement via l’application Apple Watch.

Un accès simplifié à ses contacts donc, pour lancer rapidement un appel, envoyer un message texte (dicté via le micro) ou vocal, mais aussi envoyer 3 types de messages que seuls les propriétaires de Watch peuvent s’échanger : des dessins effectués au doigt, à même le cadran de la montre, des cercles de couleurs ou plus original encore, sa pulsation cardiaque. Des fonctions amusantes certes, mais passée la curiosité des premières heures, leur intérêt s’estompe rapidement. Dommage aussi que les dessins échangés ne puissent être sauvegardés dans la montre ou dans l’iPhone. Certaines oeuvres d’art le mériteraient pourtant (!).

Ces espaces sont accessibles selon plusieurs procédés de navigation. Le plus classique est l’écran tactile, que nous avons trouvé particulièrement réactif, sans surprise. Il introduit également une nouveauté baptisée « force touch » : une pression longue sur le cadran ponctué d’une vibration qui donne accès à d’autres fonctions sur certaines applications. C’est de cette manière, par exemple, que l’on accède aux modifications de l’aspect du cadran. Seul hic, le système ne prévient jamais quand une fonction supplémentaire est accessible vie ce « force touch ». Le risque est, du coup, de passer à côté de certaines fonctionnalités importantes prévues par les développeurs.

L’écran tactile réagit bien, seulement, il n’est pas toujours facile de naviguer du bout des doigts avec précision, notamment lorsqu’il s’agit de lancer une application de la Watch en sélectionnant sa toute petite icône. Mais Apple en a bien conscience puisque sa « couronne digitale » est censée pallier ce problème. L’actionner dans un sens ou dans un autre remplace ainsi le « pincer et zoomer » de l’iPhone.

Un appui sur la couronne permet également de revenir à l’accueil à tout moment. Le bouton classique latéral, enfin, n’est lui dédié qu’à une seule fonction : l’accès aux contacts favoris. Seul regret, on aurait aimé pouvoir lui attribuer une autre fonction et l’utiliser ainsi comme bouton d’accès rapide pour une autre application de son choix. Globalement, là encore, les débuts sont plutôt hasardeux, mais on prend vite ses marques.

Un (éco)système plus abouti qu’Android Wear, déjà

Une fois la période de tâtonnement passée, la Watch se montre au quotidien un compagnon bien plus pratique que les modèles Android Wear. Il ne s’agit pas seulement d’une zone de notifications déportée sur le poignet, mais d’un prolongement naturel de l’iPhone. Et oui, on sort moins souvent son smartphone de la poche. La possibilité d’accéder à ses SMS et ses e-mails directement depuis la montre joue forcément, mais pas que. La dictée vocale est aussi bien plus aboutie. Alors qu’Android Wear oblige à envoyer des commandes complètes d’une traite : « Envoyer un message à Mélanie mobile je serai bientôt là », Siri procède lui par étapes et limite forcément les erreurs de saisie. Sans parler des « coups d’oeil » qui font réellement gagner du temps au quotidien.

Quant aux applications, Apple semblait avoir remporté la bataille avant même le lancement officiel de sa Watch. Alors certes, les développeurs suivraient la Pomme sur tous les fronts par crainte de passer à côté de la prochaine révolution, mais n’empêche… 3000 applis au lancement, c’est fou. Non seulement le nombre d’applications Android Wear était bien moins important au lancement de la plateforme, mais ces dernières étaient aussi moins riches en fonctionnalités. Android Wear a depuis rattrapé son retard, et dans une certaine mesure, devrait même profiter indirectement de l’engouement suscité par la montre d’Apple. Quelques exemples ? Twitter, sur la Watch, permet de tweeter en passant par la dictée vocale, et propose l’essentiel des fonctions de la plateforme : consultation de la timeline, envoi de retweets, mise en favoris… Sous Android Wear, Twitter n’apparaît qu’au travers des notifications.

– Retrouvez notre sélection d’applis Apple Watch –

Sous le capot de la Watch, on trouve un processeur à tout faire inédit baptisé S1, accompagné de 512 Mo de mémoire vive. Il intègre l’ensemble des puces et des contrôleurs qui permettent de faire fonctionner ses différents capteurs et récepteurs (cardio, accéléromètre, Bluetooth…). Mais dans les faits, il se trouve que la Watch est sujette à quelques lenteurs qui font, il faut le dire, un peu tâche. Alors certes, il n’est pas facile de trouver le bon compromis entre puissance, compacité et consommation énergétique, mais au regard du prix, on s’attendait à ce qu’Apple trouve la formule parfaite. Le souci pourrait toutefois être réglé prochainement au fil des optimisations apportées par les mises à jour.

Et en tant que montre de sport ?

La montre d’Apple intègre deux capteurs qui lui permettent de remplir la plupart des fonctions d’un tracker d’activité classique : un cardiofréquencemètre et un accéléromètre. Le premier mesure la fréquence cardiaque donc, avec un bon niveau de précision. Ces données sont utilisées par l’application Exercice mais peuvent aussi être exploitées par des développeurs tiers.

(Crédit photo : Laurie Gouars)

L’accéléromètre, quant à lui, indique à la Watch le niveau d’activité, et notamment la durée passée assis ou débout. L’application Activité peut ainsi nous rappeler à l’ordre lorsqu’on n’a pas bougé de sa chaise au cours des 60 dernières minutes. Nous étions plutôt sceptiques au départ, jugeant cette fonction bien trop intrusive. Mais au final, cette mise en lumière a provoqué une véritable prise de conscience : oui, nous passons beaucoup trop de temps assis ! Et nous avons fini par suivre ses recommandations.

Les 3 cercles rappellent le niveau d’activité de l’utilisateur dans 3 domaines : le temps passé assis, l’activité modérée et l’activité plus intense. La Watch peut aussi rappeler à l’utilisateur qu’il ne s’est pas levé depuis un petit moment.

L’application Exercice propose d’enregistrer ses performances dans 10 disciplines, dont bien sûr la course à pied. La montre est dépourvue de GPS, mais Apple a trouvé la parade. Il suffirait de quelques séances d’exercice avec la Watch et son iPhone pour calibrer l’accéléromètre. Une fois calibrée, la montre serait capable d’estimer seule, sans iPhone, la distance parcourue par son porteur. Nous reviendrons sur ce point prochainement dans un comparatif de montres connectées pour le sport. Notez que la montre peut être associée à un casque Bluetooth et sa mémoire interne peut stocker jusqu’à 6 Go de musique. De quoi pratiquer une activité physique en musique sans problème.

La question de l’autonomie

Avant même le lancement officiel, Apple avait déjà soigneusement préparé le terrain par des fuites que l’on suppose calculées : « la Watch tiendra facilement une journée, mais pas plus ». Moins que les montres Android Wear ? Soit, nous n’étions pas à une déception près. Seulement, après une semaine d’utilisation intensive, il se trouve que la montre s’est montrée bien plus endurante que prévu. D’après nos constatations, elle tient largement plus d’une journée, au moins jusqu’à la fin de l’après-midi du jour suivant son dernier au revoir à la prise de courant. Soit environ 34 heures d’affilée, ce qui la place au même niveau que la plupart des montres Android Wear. Et comme tous les technophiles à la tête dure, nous sommes accros (trop) à notre smartphone ainsi qu’à toutes les sollicitations qu’il nous envoit. Forcément, on ne l’a pas spécialement ménagée.

Il faut dire aussi qu’Apple a optimisé sa montre dans ses moindres recoins pour grappiller de précieuses minutes. Les écrans OLED ont ainsi la particularité de consommer moins d’énergie que les autres technos d’affichage. Comment ? Sur une dalle OLED, un pixel noir est un pixel… éteint. Et forcément, l’interface de la Watch est composée essentiellement… de noir. Apple a également optimisé les temps de veille de l’écran. Ainsi, non seulement il n’est pas possible de prolonger la durée d’affichage du cadran avant sa mise en veille, mais il est aussi impossible, tout simplement, de forcer l’affichage permanent du cadran. Pour le sortir de veille, il faudra donc appuyer sur l’un des boutons de la montre ou bien effectuer un mouvement rotatif du poignet qui sera alors reconnu par l’accéléromètre intégré. On regrette d’ailleurs que ce dernier ne soit pas toujours précis.

(Crédit photo : Laurie Gouars)

Apple a prévu un mode réserve qui désactive toutes les fonctions de la montre pour ne garder que sa vocation principale : indiquer l’heure. Un mode qui enlève tout intérêt à la montre, c’est sûr, mais qui permettra de gratter encore quelques pourcents de batterie pendant une séance de cinéma, ou un voyage en avion par exemple. D’après nos tests, la Watch tient un peu plus de 3 heures en communication vocale (conforme aux 3h annoncées), micro, haut-parleur et Bluetooth actif, et écran éteint.

Dernier bémol enfin, le chargeur de la Watch utilise une techno à induction propriétaire, et donc incompatible avec les standards poussés par la plupart des industriels, comme Qi (Samsung, Microsoft, Motorola…). Il sera donc difficile de trouver un autre chargeur que celui commercialisé à l’Apple Store, éventuellement moins cher que les 40 euros demandés par Apple.

– Apple Watch : les premières impressions de 01net TV –

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