Le 17 juillet 1203 la ville de Constantinople tombait entre les mains des Vénitiens. Huit siècles plus tard, un inspecteur italien tente d’élucider les meurtres d’historiens de l’art, tous commis à Venise mais à des époques différentes. Aidé par courriel par un spécialiste de la Renaissance, il découvre que ces assassinats portent la marque d’une mystérieuse et secrète confrérie.Aussi plaisant que rapide à lire, ce polar historique rappelle évidemment Le Nom de la rose, avec pour théâtre une Venise où les gondoles et les jolis ponts ont laissé la place aux vengeances et aux bains de sang. Le tout avec un petit assaisonnement Internet
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.