Alors que le projet de loi sur les droits d’auteur ne devrait pas faire son retour au parlement avant début mars, nombre d’adeptes des réseaux peer to peer se demandent dans quelle mesure il est illégal de télécharger un titre qui n’est plus édité par aucune maison de disques.A défaut de pouvoir arguer d’un manque à gagner, Universal Music répond en élargissant son catalogue : à partir du mois de février, elle mettra à disposition plus de 100 000 morceaux, soit environ 10 000 albums disparus des bacs. Parmi les artistes qui retrouveront une partie de leur répertoire sur les sites de téléchargement légal, citons Marianne Faith-full, Eddie and the Hot Rods, Jacques Brel, Nana Mouskouri, l’Affaire Louis Trio, Udo Lindenberg, Accept, Aphrodites Child, Noir Désir, Brigitte Bardot…
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