Nul n’est à l’abri d’une panne d’électricité ou d’une surtension… Pour protéger votre matériel informatique et sauvegarder votre travail, mieux vaut vous équiper d’un onduleur, qui fera office de batterie de secours.
Le 4 novembre 2006, une panne d’électricité géante plongeait dans le noir près de cinq millions de Français, pendant plus d’une heure. Comme certains l’ont alors amèrement constaté, une coupure d’alimentation brutale pendant que le micro est allumé peut entraîner la perte d’un document en cours d’utilisation. Une surtension ou une baisse de tension (causée par la foudre ou un problème EDF) peut aussi provoquer de sérieux dégâts sur votre matériel informatique.Pour éviter ce genre de situation, il suffit de s’équiper d’un onduleur. Ce type d’appareil se comporte comme une batterie de secours en cas de coupure de courant, en permettant de sauvegarder ses données et d’éteindre correctement le micro. L’onduleur se charge aussi de contrôler et de réguler la tension pour éviter que les appareils électriques soient mal alimentés, ce qui nuit à leur fonctionnement. Quand la tension du secteur est trop élevée ou trop faible, ils basculent sur leur batterie qui, elle, fournit une tension ‘ normale ‘ .En pratique, les onduleurs s’intercalent entre une prise secteur et votre équipement informatique. Ils sont comparables à une ?” grosse ?” multiprise où viennent se brancher les câbles d’alimentation des appareils électriques (les modèles les mieux équipés comptent huit prises). C’est la puissance de l’onduleur qui conditionne le nombre et le type d’équipements informatiques que l’on pourra leur raccorder. Tous les modèles disposent aussi de prises ‘ relais ‘ (ligne téléphonique et Ethernet) pour protéger téléphones, modems ADSL et autres routeurs d’une éventuelle surtension.La plupart sont également équipés d’une prise USB ou série qui permet de les relier à un ordinateur pour les piloter via un logiciel spécifique (fourni) : les niveaux de charge et de tension peuvent ainsi être surveillés à l’écran, et on peut également régler l’extinction automatique du micro. Avantages des modèles USB : ils sont automatiquement reconnus comme une batterie de portable sous Windows XP et se contrôlent comme tel avec les outils du système d’exploitation. Les modèles équipés d’une antique prise série requièrent en revanche l’installation du logiciel fourni avec l’onduleur…Lors de coupures de courant ou de fluctuations de la tension, tous les modèles basculent automatiquement vers leur batterie interne en émettant un signal d’alerte sonore et lumineux (ainsi qu’un message à l’écran quand ils sont reliés à un ordinateur). Certains peuvent émettre des alertes par mail, SMS ou encore par appel téléphonique, ce qui s’avère utile quand on n’est pas devant le micro.
Le courant que produit l’onduleur ne vaut pas celui du secteur L’autonomie sur batterie est évidemment un critère important : d’après nos tests, elle varie, selon les modèles, entre 2 min 40 s et 15 minutes pour un PC de puissance moyenne avec un écran. Mais, bien sûr, elle dépend du nombre d’appareils connectés et de leur consommation électrique. Par ailleurs, si deux minutes suffisent quand il s’agit d’enregistrer un document bureautique et d’éteindre proprement le PC avant que la batterie ne soit épuisée, mieux vaut disposer d’un délai plus long quand on est engagé dans une tâche assez lourde (un encodage vidéo, par exemple).Attention : le courant fourni par les batteries des onduleurs est de moins bonne qualité que celui du secteur. En effet, comme en témoignent les courbes de tension de sortie des modèles testés (voir le tableau en fin de comparatif), le signal est plus carré que sinusoïdal. Rien de gênant pour un usage rare et de courte durée, mais il faut savoir que les composants électroniques utilisés dans tous les appareils ne sont pas prévus pour soutenir longtemps ce régime, qui les met à rude épreuve. Bref, mieux vaut utiliser le moins possible l’onduleur en mode batterie, en éteignant rapidement le micro en cas de panne électrique.Notez enfin que comme tous les accumulateurs, les batteries des onduleurs ont une durée de vie limitée. Pour qu’elles conservent leurs propriétés, il convient de les changer tous les deux à trois ans, en moyenne. Une opération toujours réalisable, mais plus ou moins complexe selon le modèle : sur certains, il faut démonter tout le boîtier, alors que d’autres se changent sans outil. La plupart des constructeurs proposent des batteries neuves pour une trentaine d’euros en moyenne.
Les modes de contrôle Pour surveiller le fonctionnement d’un onduleur et en piloter les fonctions, il existe trois moyens (deux logiciels, un matériel), que tous les modèles testés ne proposent pas.
On peut utiliser le gestionnaire d’alimentation de Windows XP avec la plupart des onduleurs équipés d’une interface USB. Il est alors possible de paramétrer des alertes, la fermeture des logiciels, l’extinction du micro ou encore de connaître le niveau de charge de la batterie. Ce gestionnaire peut parfaitement se substituer au logiciel de contrôle fourni avec l’onduleur.
Tous les onduleurs équipés d’une interface pour PC (USB ou série) sont livrés avec un logiciel de contrôle. Les plus évolués, comme celui du Belkin Regulator Pro Serie Gold 625VA permettent de paramétrer des alertes (par téléphone, SMS, mail), d’éteindre le micro, d’informer sur la tension en sortie, de fournir des historiques de dysfonctionnement et de tester le fonctionnement de la batterie.
Certains onduleurs présentent sur leur boîtier des indicateurs lumineux (diodes) qui informent sur leur état. Le plus abouti des modèles testés, le Trust 1200 UPS PW-4120M, en affiche six grâce auxquelles on peut savoir si l’alimentation provient du secteur ou de la batterie, connaître le niveau de charge de la batterie, et être alerté en cas de dysfonctionnement électrique.
Glossaire Sur beaucoup d’onduleurs, on ne branche pas les appareils à protéger avec des prises standard, mais avec des prises IEC 320 à trois broches plates, comme celles qui se trouvent sur le bloc d’alimentation des PC : une mâle au niveau de l’onduleur, et une femelle au niveau du matériel informatique.
Ce qui est important Il existe trois catégories d’onduleurs. Les modèles ‘ off-line ‘ , les plus économiques, servent surtout à se prémunir des coupures de courant. Si la tension de votre réseau est sujette à d’importantes variations, optez pour un ‘ line-interactive ‘ car il permettra, en théorie, de mieux filtrer ces fluctuations. Enfin, les ‘ on-line ‘ garantissent une qualité constante de l’alimentation électrique, mais leur prix les réserve plutôt aux entreprises.
La puissance d’un onduleur conditionne sa capacité à alimenter votre équipement en cas de coupure de courant. Elle est exprimée en VA (volt-ampère) et en W (watt). Cette dernière donnée est la plus significative, car couramment utilisée pour les appareils électriques. Avec un ordinateur de milieu de gamme, il faut un onduleur d’une puissance d’au moins 200 W. Avec un PC puissant équipé d’une carte graphique haut de gamme, comptez 400 W.
Il est plus facile de brancher les appareils sur un onduleur équipé de prises de courant standard que sur un modèle avec des prises IEC 320, car celles-ci nécessitent l’utilisation de câbles spéciaux (en général, deux sont fournis). Sur certains onduleurs, il y a des prises alimentées par la batterie, et d’autres qui sont seulement protégées contre les surtensions (par disjoncteur). Un pictogramme les différencie sur le boîtier du onduleur.
Un onduleur peut être contrôlé depuis un ordinateur quand il intègre une prise USB et/ou série. Certains modèles disposent uniquement d’une prise série, qui contrairement à la prise USB n’est pas disponible sur tous les micros. Tous les modèles équipés de l’une de ces prises sont livrés avec un logiciel destiné à vérifier le niveau de charge de la batterie, et parfois aussi l’autonomie restante ou encore la tension en entrée et en sortie.
Comment nous avons testé A l’aide d’un variateur relié à chaque onduleur, les ingénieurs ont augmenté au-delà de 220 volts la tension d’alimentation d’entrée secteur, puis ils l’ont diminuée, pour mesurer avec un multimètre à partir de quel niveau de surtension ou de sous-tension la batterie prenait le relais. Ils ont également relevé la courbe de la tension délivrée, pour comparer sa qualité à celle fournie par EDF (en forme de sinusoïde).
Le temps nécessaire à l’onduleur pour prendre la relève lors d’une coupure de courant (dit temps de commutation) a été mesuré à l’aide d’un oscilloscope. Il doit, bien sûr, être le plus court possible. Nos ingénieurs ont également évalué la puissance maximale réellement fournie par les batteries, qui conditionne le nombre d’éléments que la batterie peut alimenter en cas de coupure du secteur.
En simulant une coupure de courant, les ingénieurs ont mesuré le temps pendant lequel la batterie de chaque onduleur pouvait alimenter un PC de test (équipé d’un processeur Intel Core 2 Duo et de 1 Go de mémoire vive) et un écran LCD 17 pouces, représentatif d’une charge typique ; ces équipements utilisant une puissance de 180 watts. Ils ont renouvelé l’opération après une coupure de 2 minutes puis une recharge d’une heure de l’onduleur. Plus cette deuxième mesure est proche de la première, plus la vitesse à laquelle les batteries se rechargent est élevée.
Les choix de l’Ordinateur Individuel APC Back-UPS ES 700 : le plus homogène
C’est le gagnant de ce dossier. Il offre un grand nombre de prises standard d’alimentation (huit dont quatre reliées à sa batterie). Il s’avère très facile à utiliser. Et, en terme de performances, c’est l’un des plus puissants et des plus autonomes. Du coup, à 120 euros, c’est l’un des meilleurs rapports qualité/prix.
Trust 1200 UPS PW-4120M : le plus performant
Il bénéficie de la batterie la plus puissante et autonome de ce dossier. C’est par ailleurs l’un des meilleurs modèles testés en terme de régulation de la tension. Par ailleurs, ce qui ne gâche rien, son logiciel de contrôle offre la plus large variété de fonctions. Et il peut alimenter jusqu’à huit appareils. Son prix : 110 euros.
A notre avis : Danger : haute tension Si les onduleurs protègent effectivement des surtensions du réseau électrique, ils ne présentent pas tous le même seuil de tolérance ni les mêmes réactions. Ainsi, lors de nos tests, certains modèles ont laissé passer des tensions supérieures à 260 V sans basculer en mode batterie. Une valeur bien supérieure aux 220 V officiels du secteur, avec un risque : celui d’une usure accélérée de certains composants électroniques, et donc d’une réduction de leur durée de vie. Si vous habitez dans une région où la tension est très fluctuante, mieux vaut donc éviter les modèles dont la tension de sortie maximale est trop élevée…
Back-UPS ES 700 – APC : Le plus homogène Le Back-UPS ES 700 de APC devance ses concurrents, et de loin, avec une note globale de 16/20 contre 13,9/20 pour l’onduleur classé deuxième. Et pour commencer, il dispose de huit prises d’alimentation qui, en plus, sont standard. Une première qualité à laquelle s’en ajoutent d’autres… Dans la catégorie des onduleurs off-line, ses prises sont les mieux protégées contre les phénomènes de surtension. Quatre d’entre elles sont reliées à la batterie, relativement puissante (390 W) et autonome (environ 12 minutes). Cet onduleur se distingue aussi par son ergonomie très correcte. Quand il est relié à un PC sous Windows XP via sa prise USB, il est reconnu comme une batterie de portable, ce qui en facilite la gestion. Et même si son logiciel de contrôle n’offre pas le plus grand choix de fonctions, l’essentiel est là. Pour couronner le tout, cet APC bénéficie d’un bon rapport qualité/prix. Son défaut : faute d’espace suffisant entre les prises, impossible de brancher deux gros adaptateurs secteur côte à côte sans être obligé d’utiliser une rallonge.
Points forts
Nombreuses prises standard Bonne autonomie Interface USB Gestion directe avec Windows XP
Points faibles
Disposition des prises
Prix
120 euros
Protection Center 500 USB – MGE UPS Systems : Simple d’emploi Comme son homologue, l’APC Back-UPS ES 700, gagnant de ce dossier, ce modèle de MGE bénéficie d’une facilité d’utilisation remarquable. Il est même livré avec un logiciel de contrôle un peu plus complet capable, entre autres, de lancer une alerte par mail ou un appel téléphonique. Au niveau des performances électriques, ce MGE cède du terrain. Sa batterie s’est révélée 25 % moins puissante (290 W) et deux fois moins autonome (6 min 44 s), mais c’est elle qui se recharge le plus vite.
Points forts
Nombreuses prises standard Interface USB Gestion directe avec Windows XP Alerte par mail et par appel téléphonique
Points faibles
Batterie peu puissante Insuffisante régulation de la tension Disposition des prises
Prix
100 euros
950VA UPS PW-4095T – Trust : Petit mais costaud Malgré son prix très bas (c’est le moins cher de ce comparatif ), ce modèle ne démérite pas. Certes, son équipement est minimaliste : seulement deux prises IEC 320 alimentées par la batterie, une autre prise protégée pour la ligne téléphonique et aucune interface pour PC ! Mais cet onduleur de type line-interactive est l’un des meilleurs en terme de régulation de la tension, son temps de commutation sur batterie est très court (9,6 ms), et sa batterie offre une puissance maximale relativement confortable (360 W) et une bonne autonome (12 min 20 s). Dommage que l’on ne dispose d’aucun moyen de contrôle, ni sur la façade du boîtier, ni sur écran, faute de disposer d’une interface micro…
Points forts
Prix bas Type line-interactive Bonne régulation de la tension Bonne autonomie
Points faibles
Peu de prises alimentées Prises non standard Aucune interface micro
Prix
65 euros
Regulator Pro Serie Gold 625VA – Belkin : De nombreux atouts Avec son design en forme de U, cet onduleur de type line-interactive détonne au milieu de ses concurrents plus austères. Il se distingue aussi par la richesse de sa connectique. En effet, il fait partie des trois modèles testés sur lequel on peut raccorder le plus grand nombre de matériels. En haut de son boîtier sont regroupées huit prises IEC 320 protégées, dont quatre alimentées par la batterie (seuls deux câbles IEC 320 sont fournis) et des prises protégées pour ligne téléphonique et réseau Ethernet. A cela s’ajoute une prise série pour contrôler l’onduleur depuis le micro. Grâce à la facilité d’utilisation et la richesse des fonctions de son logiciel de contrôle, la gestion de cet onduleur est remarquable. Rien à redire non plus concernant la puissance et l’autonomie de sa batterie. Reste que, par rapport aux deux modèles qui arrivent en tête, ce Belkin est pénalisé par ses prises d’alimentation non standard et aussi par son prix, le plus élevé de ce dossier.
Points forts
Type line-interactive Nombreuses prises Bonne autonomie Alerte par mail et par appel téléphonique Changement facile de la batterie
Points faibles
Prix Prises non standard (IEC 320) Interface série
Prix
130 euros
1200 UPS PW-4120M – Trust : Le plus performant Un mastodonte de 11 kg dont la batterie est la plus puissante (près de 540 W) et la plus autonome de ce dossier (près de 16 minutes) ! Une prouesse, compte tenu de son prix. Quatre appareils peuvent bénéficier de sa protection, mais il faudra acheter deux câbles IEC 320 en plus des deux fournis pour tous les brancher… Cet onduleur de type line-interactive est également remarquable en terme de gestion. D’abord, c’est le seul modèle testé disposant d’un indicateur de charge de batterie sur le boîtier. Ensuite, le logiciel de gestion livré est l’un des meilleurs, tant par sa facilité d’utilisation que par la richesse de ses fonctions, notamment d’alerte (par mail ou SMS).
Dommage qu’il faille un port série sur le PC pour relier l’onduleur. Enfin, à l’inverse des autres modèles, le 1200 UPS PW-4120M intègre un ventilateur pour refroidir ses composants, mais il s’avère bruyant…
Points forts
Type line-interactive Batterie puissante Très bonne autonomie Indicateur de charge sur le boîtier Bon logiciel
Points faibles
Prises non standard (IEC 320) Interface série Pas de protection réseau Ethernet
Prix
110 euros
Alerte 850 – NGS : Puissant mais perfectible Avec une puissance maximale de sortie de 400 W, une autonomie confortable de plus de 11 minutes, et un temps de commutation très court (7,5 ms), ce modèle figure parmi les plus performants de ce comparatif. On peut le contrôler depuis le micro via une liaison série, mais son logiciel de contrôle s’avère perfectible puisque c’est le seul qui n’indique pas l’autonomie estimée de la batterie en cas de coupure de courant. Autre grief, cet onduleur de type off-line est l’un des plus mauvais au niveau de la régulation de la tension. Enfin, il dispose seulement de deux prises IEC 320 protégées et alimentées par sa batterie.
Points forts
Batterie puissante Très bonne autonomie Alerte par appel téléphonique
Points faibles
Prises non standard (IEC 320) Insuffisante régulation de la tension Interface série Logiciel de contrôle perfectible
Prix
100 euros
Ellipse ASR 600 FR USBS – MGE UPS Systems : Variation sur le même thème Par rapport au deuxième modèle testé du même constructeur, l’Ellipse ASR 600 FR USBS est équipé d’une batterie environ 20 % plus puissante, mais légèrement moins autonome. Par ailleurs, cet onduleur compte une prise d’alimentation sur batterie en moins et n’offre aucune prise d’alimentation protégée. Ce sont les trois différences significatives entre ces deux modèles de type off-line relativement bien notés et au même prix.
Points forts
Prises standard Interface USB Gestion directe avec Windows XP Alerte par mail et par appel téléphonique Changement facile de la batterie
Points faibles
Autonomie moyenne Insuffisante régulation de la tension Disposition des prises
Prix
100 euros
Back-UPS RS 500 – APC : Intérêt limité Cet onduleur dispose de trois prises protégées par sa batterie, soit une de moins que son concurrent de même prix, le 1200 UPS PW-4120M de Trust. En termes de régulation de la tension et de temps de commutation, ces modèles se valent. Cet APC offre même une meilleure ergonomie… Mais voilà : sa batterie est beaucoup moins puissante, trois fois moins autonome, et la tension qu’elle délivre est de moins bonne qualité.
Points forts
Type line-interactive Interface USB Gestion directe avec Windows XP Changement facile de la batterie
Points faibles
Prises non standard (IEC 320) Pas de protection réseau Ethernet Autonomie moyenne
Prix
110 euros
OP-500TE – CyberPower : A oublier Vendu à un tarif assez bas, ce modèle ne brille sur aucun plan. Il ne dispose que de deux prises alimentées par batterie, manque de puissance (seulement 250 W) et d’autonomie (moins de 3 min en cas de coupure), et possède un temps de commutation relativement élevé (25,6 ms), ce qui peut engendrer des problèmes sur les appareils sensibles aux microcoupures. En outre, il ne dispose que d’une prise série et son logiciel de contrôle, quoique correct, est livré sur une disquette… Préhistorique !
Points forts
Type line-interactive
Points faibles
Prises non standard (IEC 320) Interface série Temps de commutation élevé Batterie peu puissante Faible autonomie
Prix
90 euros
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