Compact, léger et offrant une bonne capacité, le disque externe de poche vous suit partout. Un excellent complément de stockage pour votre ordinateur.
Ils se positionnent en tête de gondole au rayon high-tech des supermarchés et sont les chouchous des férus de technologie pour délester le disque dur trop chargé de leur micro. Qui donc ? Les disques externes. Bien plus faciles à relier à un PC que les disques internes, ils offrent un espace de stockage très confortable, pour un prix raisonnable : sur les disques externes ‘ de bureau ‘ (plus volumineux, embarquant un disque au format 3,5 pouces), le gigaoctet coûte environ 0,20 à 0,25 euro, et sur les modèles portables (dotés d’un disque au format 2,5 pouces), la moyenne se situe généralement entre 0,35 et 0,40 euro.C’est cette seconde catégorie de disques, plus légers, plus mobiles, qui fait l’objet de ce comparatif. Nous avons sélectionné treize de ces modèles ‘ de poche ‘ , d’une capacité de 250 Go. Ce n’est certes pas ce qui se fait de mieux en termes d’espace de stockage, puisque les capacités peuvent aujourd’hui atteindre 500 Go, voire plus chez certains fabricants qui ont décidé d’installer deux disques au format 2,5 pouces dans le même boîtier ! Plus abordables (les tarifs de notre sélection s’ étalent de 70 à 110 euros), les modèles de 250 Go affichent des dimensions et un poids réduits (autour de 200 g), ce qui en fait d’excellents compagnons pour un ordinateur portable ou pour un PC de bureau.
Des questions de détails Le choix n’est pas aisé pour autant. En effet, malgré de fortes ressemblances d’un modèle à l’autre, il est important de garder certains détails à l’esprit. Ainsi, les variations de performances sont très faibles. La raison ? Les caractéristiques des disques sont identiques (vitesse de rotation des plateaux de 5 400 tr/min, 8 Mo de cache).Surtout, comme nous vous l’avions déjà indiqué précédemment (voir l’Oi n?’ 208, p. 84), l’USB bride les taux de transfert : au mieux, nos ingénieurs ont obtenu 33 Mo/s en lecture et 27,5 Mo/s en écriture, avec des différences minimes d’un disque à un autre. Pour vraiment voir la différence, mieux vaut utiliser des interfaces plus rapides, comme le Firewire 400, ou mieux l’eSata, version externe de l’interface série rapide Sata : les disques fonctionnent alors à pleine vitesse (60 Mo/s en lecture, 50 Mo/s en écriture). Le problème, c’est que ces interfaces ne sont pas si courantes ni sur les PC, ni sur les disques de poche : ici, seul le modèle de LaCie est équipé en Firewire, tandis que les disques signés Memup et Plextor se distinguent avec leur prise eSata.Autre point important : l’alimentation électrique. Généralement, ces disques sont auto-alimentés : un seul câble USB suffit pour les mettre sous tension et faire transiter les données. Mais les disques peuvent être assez gourmands et réclamer plus que les 500 milliampères (mA) qu’un port USB est capable de distribuer ?” sinon, ils ne sont pas correctement reconnus par Windows. Pour y remédier, la solution généralement adoptée par les fabricants est de fournir un câble USB en Y, qui dispose de deux fiches USB à brancher si nécessaire sur l’ordinateur. Plus rare, on trouve aussi des câbles additionnels présentant une prise USB d’un côté et une prise d’alimentation de l’autre ?” à ne pas perdre car ils sont difficiles à trouver séparément. Seagate, Western Digital et Freecom ont fait le pari de ne fournir aucune alimentation auxiliaire. Attention donc, leurs disques pourraient ne pas fonctionner sur certains micros un peu anciens (des portables notamment).Enfin, il ne faut pas oublier le rôle important et trop souvent négligé de la sauvegarde. De nombreux modèles testés sont équipés en conséquence : ils sont fournis avec une suite logicielle adéquate, gérant le plus souvent la sauvegarde à intervalles réguliers de l’ordinateur, mais aussi la synchronisation de fichiers ou de dossiers spécifiques. Dans ce cas, lorsque vous branchez le disque sur votre PC ou lorsque vous appuyez sur un bouton à l’avant du boîtier, la dernière version des fichiers sélectionnés est automatiquement enregistrée sur l’unité de stockage externe. Très pratique si vous utilisez des fichiers sur plusieurs ordinateurs. Et c’est le genre de fonctions qui peut être d’un grand secours après une panne ou un crash : pratiquez-la sans compter !
Hausse des prix à venir ? Au moment de la rédaction de cet article, nous avons vérifié, comme de coutume, les prix donnés par les fabricants des disques de ce banc d’essai. Chez Iomega, la réponse a été particulière : ‘ Du fait de l’augmentation du dollar par rapport à l’euro, nous avons été obligés de revoir nos tarifs à la hausse… ‘ Leur modèle est ainsi repassé au-dessus de la barre psychologique des 100 euros. Ce cas est pour l’instant isolé, mais préfigure-t-il d’autres augmentations de prix dans l’informatique ? Réponse dans les semaines à venir.
Le modèle de Maxtor arrive bon premier de la sélection grâce à son ergonomie et ses performances remarquables , plus particulièrement en écriture. Seul bémol, l’absence de prise eSata.
Doté d’une prise eSata, le disque de Plextor offre des performances et des caractéristiques de premier ordre . En revanche, il n’intègre pas d’utilitaire de sauvegarde pour sécuriser ou synchroniser les données.
Comment nous avons testé Pour évaluer la rapidité des disques durs, nos ingénieurs réalisent plusieurs séries de mesures. Ils utilisent d’abord les programmes HDTach et HDTune, qui évaluent les performances ‘ brutes ‘ de chaque unité de stockage en lecture et en écriture. Ces logiciels relèvent aussi le temps d’accès moyen, la vitesse de purge de la mémoire cache (burst speed ) et le taux d’utilisation du processeur du PC. Ensuite, les ingénieurs évaluent la vitesse de lecture et d’écriture lors de transferts de fichiers de différentes tailles (documents bureautiques de quelques Ko, photos, MP3, vidéos), à l’aide d’un logiciel maison. Les mesures sont réalisées en reliant chaque disque en USB 2.0 à un PC de test ; une autre série d’essais a lieu en eSata, pour les disques équipés de cette interface.
Les disques externes de poche étant alimentés par le port USB du PC (et non par un bloc secteur), une mesure différente de celle habituellement pratiquée est réalisée : celle du pic de courant très bref qui se produit lors du branchement du disque (et qui peut, s’il est trop élevé, empêcher la reconnaissance et le fonctionnement du disque sur certains PC). Cette mesure est effectuée via un oscilloscope et une sonde à effet Hall.
La chaleur dégagée par chaque appareil est mesurée à l’aide d’une caméra thermique, après la copie de 20 Go de données sur le disque dur (des fichiers de 1 à 700 Mo). Nos ingénieurs observent également les relevés de température effectués par les sondes du logiciel HDTune.
Chaque disque est installé dans une salle spécialement isolée et relié à un PC de test situé à l’extérieur de la pièce. Un microphone est placé à 50 cm du disque externe et relié à un oscilloscope. Des fichiers de petite taille sont copiés sur le disque, afin de créer une forte activité. La mesure qui est alors réalisée est comparée à une courbe de pénibilité des sons pour l’oreille humaine.
Maxtor – OneTouch 4 mini 250 Go : Un fauve en cage Le disque signé Maxtor brille par son ergonomie et ses excellentes performances, notamment en écriture.
Maxtor n’est pas mort ! Racheté par Seagate en 2006, le fabricant de disques durs est toujours là et fait preuve d’une belle vitalité avec ce OneTouch 4 Mini d’excellente facture. Une vraie foire aux bons points : il présente notamment des détails d’ergonomie qui font toute la différence (dimensions et poids raisonnables, câble USB de bonne longueur muni d’une deuxième prise pour alimenter correctement le disque, documentation très bien réalisée et complète). Surtout, c’est un petit bolide en termes de performances : il a dépassé tous ses adversaires lors de nos tests en écriture, atteignant 27,5 Mo/s ! En lecture, il apparaît aussi dans le haut du panier, avec des résultats oscillant entre 30 et 32 Mo/s. Quel dommage que Maxtor n’ait pas choisi d’équiper son OneTouch 4 Mini d’une prise eSata, car on sent bien que le disque Seagate Momentus dont il est équipé a encore de la puissance à revendre : il pourrait vraiment donner la pleine mesure de sa rapidité en eSata… Mentionnons par ailleurs l’excellent logiciel fourni avec le disque, Maxtor Manager, qui propose d’accomplir de manière simple des tâches rébarbatives comme la sauvegarde de vos données les plus précieuses, la synchronisation de certains fichiers entre votre PC et le disque externe, ou encore le cryptage de vos données sensibles.
Points forts
Performances en écriture Logiciel de sauvegarde Dimensions et poids Longueur du câble
Point faible
Absence de prise eSata
Prix
90 euros environ
Memup – Kwest Evolution 2,5″ 250 Go : Un modèle équilibré Le disque de Memup conjugue habilement équipement, performances et confort d’utilisation. Un petit peu plus cher que notre vainqueur, il est en revanche équipé d’une prise eSata, plus rapide que l’USB 2.0 : en utilisant cette interface, le laboratoire a obtenu des taux de transfert en lecture comme en écriture d’environ 51 Mo/s, contre 32 Mo/s au maximum en USB. Un débit appréciable pour réaliser des sauvegardes sans rester durant des heures devant son PC… D’autant que Memup fournit des utilitaires pour sauvegarder les données stockées sur l’ordinateur et les restaurer en cas de problème ou de suppression involontaire. Deux petits défauts cependant, qui ne sont heureusement pas rédhibitoires : un poids assez élevé (220 g, rien de dramatique cependant), et une documentation particulièrement limitée.
Points forts
Port eSata intégré Bonnes performances
Point faible
Documentation médiocre
Prix
100 euros environ
Plextor – PX-PH250US : Le plus rapide en eSata Si vous cherchez un disque de poche vraiment rapide, ce modèle de Plextor vous satisfera . Il affiche des résultats très décents en USB, mais c’est en le branchant sur l’interface eSata d’un PC ou d’un portable récent qu’il se montre le plus véloce, avec des débits en lecture de l’ordre de 60 Mo/s et de 50 Mo/s en écriture. En revanche, si vous envisagez de l’utiliser pour réaliser vos sauvegardes ou pour synchroniser des données entre votre ordinateur et le disque, il faudra chercher un logiciel tiers, car Plextor ne fournit aucun outil de ce type : le fabricant a préféré miser sur son utilitaire PlexTools Professional, pour vérifier l’état de santé du disque et réaliser quelques tâches annexes comme la sécurisation de l’unité de stockage par mot de passe. Par ailleurs, une housse de transport est fournie : sympathique attention !
Points forts
Rapidité en eSata Prix intéressant Housse fournie
Point faible
Pas d’utilitaire de sauvegarde
Prix
90 euros environ
Transcend – StoreJet 25C : Cher poids plume Le prix élevé de ce StoreJet (110 euros) est relativement difficile à justifier. Correctes, ses performances se situent globalement dans la moyenne du marché. Son utilitaire de sauvegarde/restauration est certes très bien fait et complet, mais c’est dommage qu’il n’ait pas été entièrement traduit… De plus, ce modèle ne se connecte qu’en USB, et le disque qu’il contient exploite une interface IDE, plus ancienne que le Sata (et moins performante, même si cela ne se remarque pas ici). Reste son poids (170 g), un des plus légers de cette sélection.
Points forts
Très bon logiciel de sauvegarde Poids réduit
Point faible
Prix Chaleur dégagée
Prix
110 euros environ
LaCie – Little Disk 250 Go : Pour les Mac et les PC Équipé d’interfaces USB et Firewire 400 (avec pas moins de deux prises de ce type, ce qui permet de connecter un autre périphérique compatible), le Little Disk sera à l’aise sur Mac comme sur PC. En termes de rapidité avec cette prise, le laboratoire a mesuré 37,5 Mo/s en lecture et 32 Mo/s en écriture (sous Windows XP, Vista gérant mal le Firewire) : c’est 15 à 30 % mieux qu’en USB. Point faible de ce modèle, son câble USB intégré ne respire pas la solidité : la fragilité apparente d’une soudure a inquiété nos ingénieurs. Notons que, depuis la fin de nos tests, LaCie fournit de nouveaux utilitaires de sauvegarde, à savoir Genie Backup Manager pour Windows et Intego Backup pour Mac.
Points forts
Prises FireWire Bouton de synchronisation à l’avant
Points faibles
Fragilité du câble USB intégré Chaleur dégagée
Prix
106 euros environ
Verbatim – HDD Premium Edition 250 Go : L’allure d’abord, les performances ensuite La forme bombée et l’aspect suédé du boîtier de ce disque externe Verbatim peuvent surprendre au premier abord. Son poids très réduit aussi : à 160 g, c’est l’un des moins lourds de ce banc d’essai. Autre élément appréciable, le logiciel de sauvegarde est fourni. En revanche, ce disque dur externe présente deux défauts relativement gênants : il s’avère plutôt lent en écriture (moins de 19 Mo/s en utilisation normale, quand les meilleurs dépassent les 27 Mo/s), et il figure parmi ceux qui chauffent le plus de notre comparatif : un échauffement supérieur à 42?’C, qui peut être préjudiciable à long terme pour la santé du disque.
Points forts
Poids plume Joli boîtier
Points faibles
Lenteur en écriture Chaleur dégagée
Prix
90 euros environ
Dane-Elec – SoMobile 250 Go : Le plein de logiciels À l’instar du modèle de Transcend, ce disque de Dane-Elec se place parmi les plus chers du banc d’essai. Là encore, ce n’est pas du côté de l’équipement qu’il faut chercher une explication (c’est un modèle à simple interface USB, sans bouton de sauvegarde ou de synchronisation à l’avant), ni même du côté des performances ?” tout à fait standard. En revanche, le SoMobile est fourni avec une jolie collection d’utilitaires : des logiciels de sécurité signés PCTools (en version d’évaluation seulement), et surtout des utilitaires de sauvegarde signés Roxio, à savoir Backup MyPC et Easy Archive. Soulignons que ce dernier est censé gérer des synchronisations de données, sauf que nos ingénieurs n’ont pas réussi à exploiter cette fonction…
Points forts
Suite logicielle généreuse Pochette fournie
Point faible
Prix élevé
Prix
110 euros environ
Storex – Club Pocket Disk 250 Go : Dans le plus simple appareil Vous cherchez un disque dur simple, pas trop cher, et vous n’avez que faire des logiciels de synchronisation ou de sauvegarde qui sont généralement fournis ? Vous n’êtes pas particulièrement préoccupé par les performances ? Le Club Pocket Disk de Storex devrait vous convenir. C’est un modèle vraiment basique, mais dont le boîtier, qui semble très robuste, a bien plu à nos ingénieurs. En plus, il n’est pas trop lourd, sa documentation est de qualité et il est fourni avec une housse. Juste ce qu’il faut, en somme !
Points forts
Boîtier solide Housse fournie
Point faible
Pas de sauvegarde ou synchronisation
Prix
90 euros environ
Seagate – FreeAgent Go 250 Go : Joli et bien accompagné À défaut de se démarquer par sa rapidité (31 Mo/s en lecture, 21 Mo/s en écriture, très classique), ce disque Seagate préfère jouer sur deux autres tableaux. D’une part, le design : commercialisé en quatre coloris, il peut être placé à la verticale sur une station d’accueil optionnelle (20 euros env.), à la manière d’un iPod. Original ! D’autre part, il est fourni avec un utilitaire très complet pour la gestion des sauvegardes et des synchronisations : c’est d’ailleurs le même que celui qui accompagne le disque Maxtor ! Toutefois, il n’est alimenté que par l’USB, et pourrait ne pas être correctement reconnu sur certains portables qui n’alimentent pas assez les ports USB.
Points forts
Excellent logiciel de sauvegarde Design soigné
Point faible
Pas d’alimentation auxiliaire
Prix
100 euros environ
Western Digital – MyPassport Elite 250 Go : Idéal pour synchroniser Encore une fois, c’est la qualité des logiciels fournis avec ce disque MyPassport Elite qui lui permet de se différencier de ses concurrents. WDSync (par ailleurs identique au programme LaCie Sync testé avec le Little Disk de LaCie) est en effet un utilitaire très intuitif pour synchroniser des données entre le PC sous Windows et le disque externe. Pour le reste, les ingénieurs du laboratoire ont constaté un taux d’utilisation du processeur un peu plus élevé que la moyenne. Ils ont aussi déploré l’absence d’alimentation auxiliaire ainsi que le prix élevé.
Point fort
Logiciel de synchronisation
Points faibles
Prix Élevé Pas d’alimentation auxiliaire
Prix
110 euros environ
MacWay – Storeva X-5 250 Go : Le meilleur rapport qualité-prix Le Storeva X5 ravira ceux dont le budget est serré. Ce disque externe portable est en effet vendu 70 euros : c’est le moins cher de notre sélection ! Pour autant, MacWay n’a pas fait l’impasse sur les accessoires, puisqu’il est livré avec une pochette de transport ainsi que le logiciel de sauvegarde et de restauration PCClone EX Lite, qui démarre par une simple pression d’un bouton à l’avant. Et il chauffe peu ! Cependant, ses performances sont un peu en retrait, avec un taux d’utilisation du processeur assez élevé (6,5 %) et une certaine lenteur en écriture (moins de 19 Mo/s). Rien de dramatique, heureusement.
Points forts
Prix plancher Fonction de sauvegarde
Point faible
Performances en retrait
Prix
70 euros environ
Freecom – Mobile Drive XXS : Chérie, j’ai rétréci le disque Record à battre ! Voici le plus petit et le plus léger des disques externes au format 2,5 pouces. Pas de boîtier métallique : à la place, une coque en gomme. Et pas d’électronique superflue non plus : le disque, produit par Samsung, est équipé d’une prise USB (et non d’une interface Sata reliée à un connecteur USB). L’appareil affiche d’ailleurs les deuxièmes meilleures performances de ce comparatif ! Mais le laboratoire s’est montré plus sévère à son égard que la rédaction (nous l’avions testé dans notre numéro précédent et il avait obtenu la note de 15/20) : a notamment été sanctionnée l’absence d’alimentation auxiliaire et de fonction de sauvegarde.
Points forts
Taille et poids mini Bonnes performances Tarif attractif
Points faibles
Pas de fonction de sauvegarde Pas d’alimentation auxiliaire
Prix
75 euros environ
Iomega – eGo Portable Hard Drive : Volumineux mais véloce Voici l’exact opposé du Mobile Drive XXS de Freecom. L’eGo Portable Hard Drive est le plus lourd (236 g) et le plus épais (3,2 cm, contre 1,2 cm pour les plus fins) des disques de ce comparatif. Ce n’est pas non plus une brique, mais on sent la différence… Sur ce modèle, Iomega a fait l’impasse sur les fonctions de sauvegarde ou de synchronisation : pas de logiciel, pas de bouton sur le disque. Heureusement, le fabricant se rattrape sur dautres points : les performances sont bonnes, le câble fourni est long (un mètre, pas moins !) et le disque chauffe peu.
Points forts
Peu de chaleur dégagée Bonnes performances
Points faibles
Encombrement et poids Pas de fonction de sauvegarde
Prix
102 euros environ
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