- Quatre solutions pour numériser vos diapositives
- L’alternative : photographier ses photos
- Labos en ligne
- Scanners à film
- Scanners à plat avec dos lumineux
- Choisir la bonne méthode : les critères qui comptent
L’avantage du scanner à film (diapos et négatifs) est qu’il est plus compact, rapide et précis qu’un scanner à plat. L’inconvénient est qu’il n’est destiné qu’à cet usage ; il faut donc que vous ayez beaucoup de films. Attention cependant, les modèles d’entrée de gamme sont généralement de piètre qualité. Ils utilisent un capteur CMOS (type webcam) pour prendre une photo des diapos.
C’est rapide (1 seconde par image), facile, mais les résultats sont décevants : manque de détails, couleurs fantaisistes, noirs bouchés. Nous avons testé le Rollei RS-100 SE (130 euros) : ses « scans » sont à peine exploitables pour un usage Web ou des impressions au format 10 x 15 cm. Du côté des vrais scanners à film, il ne reste guère que Plustek qui propose des appareils à un tarif accessible. Là encore, il faudra faire un choix.
Nous avons testé l’OpticFilm 7400 ( 200 ppp, Dmax 3.5) vendu 250 euros. Il a de nombreux atouts : sa rapidité (moins de 2 minutes par diapo), la qualité de numérisation, un logiciel riche (mais pas facile à utiliser) pour un contrôle fin des réglages. En revanche, le traitement des poussières par infrarouge est absent car réservé aux modèles haut de gamme.
Un équivalent logiciel est bien proposé, mais il est moins précis et nécessite un réglage manuel pour éviter que des détails de l’image soient gommés avec les poussières.
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