Après Expedia (voir l’OI n?’ 164, page 72), c’est au tour de Travelocity, la filiale européenne du groupe américain Sabre, de faire son apparition sur le marché français de la vente de voyages en ligne. Au
programme : vols secs, location de voitures, bons plans, week-ends et séjours. Rien de bien nouveau et, surtout, une offre moins riche que celle du site américain de Travelocity, qui propose des croisières et des billets pour des parcs à
thèmes. Le système de réservation, simple et rapide, permet d’accéder facilement au type de voyage ou à la destination de son choix. Mais ni les prix, ni les destinations, ni le système de paiement, ni le compte personnel où garder la trace de ses
réservations et de leur paiement, ne distinguent Travelocity de ses rivaux. Dommage aussi que le descriptif des hôtels ne soit pas (encore) traduit en français et que, pour certains vols, l’internaute doive indiquer le code à trois lettres de
l’aéroport de départ.
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