Prey débute de manière assez brutale. Alors que Tommy, un Cherokee, se morfond dans un bar miteux au c?”ur d’une réserve indienne, l’édifice et ses occupants sont soudain aspirés dans l’espace, au c?”ur d’un
immense vaisseau à l’architecture d’acier et de… chair. Les humains capturés sont en effet conduits vers une machine qui leur perfore le corps et en extrait le sang pour nourrir le vaisseau lui-même.Aidé par un mystérieux inconnu, Tommy échappe de peu à la mort. Pour sauver son amie capturée avec lui, il va devoir affronter des hordes d’extraterrestres, avec une difficulté supplémentaire : la gravité changeante des lieux. A
certains endroits du vaisseau, il est possible de marcher sur les murs, voire au plafond. Les points de vue sont donc constamment inversés, et l’on peut ainsi croiser des ennemis courant le long des parois ou encore se dissimulant, collés au
plafond. Une perspective assez déroutante au départ. Et ce n’est pas tout : Tommy ne se bat pas seulement dans le monde réel, avec les armes qu’abandonnent les extraterrestres ; il intervient aussi dans le monde des esprits. Le héros peut
alors traverser certaines parois et même affronter les adversaires grâce à son arc cherokee, qui se recharge en capturant l’âme des ennemis abattus. Vraiment original.
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