Alors que les sites permettant de consulter gratuitement des vidéos tel YouTube voient leur fréquentation augmenter, les offres de vidéo à la demande (VoD) ?” environ 25 actuellement ?” peinent à trouver leur public. Selon l’observatoire de la VoD, mis en place par le CSA et le Nouveau paysage audio-visuel (NPA), seulement 18 % des Français déclaraient connaître le sigle en août dernier, et un tout petit centième avoir cédé à la tentation. La faute à qui ? Au prix, aux catalogues peu étoffés, au manque d’information et aux contraintes techniques, ont répondu les personnes interrogées. De plus, nombre d’entre elles ont une représentation confuse de ce nouveau mode de distribution. Si 82 % associent à juste titre la VoD à un acte légal payant, 32 % croient qu’il s’agit d’acheter un film, et 58 % pense que c’est une location. Seuls 2 % savent quon peut soit acheter soit louer
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