Le processeur graphique est certes important, mais il n’est pas le seul élément à prendre en compte dans le choix d’une carte. Interviennent de nombreux autres facteurs, tous très techniques, liés à l’architecture du PC et aux logiciels employés. L’utilisateur, même confirmé, peut aussi se laisser abuser par les promesses liées à la quantité de mémoire de la carte graphique. Cette caractéristique permet avant tout aux constructeurs de gonfler avantageusement leurs marges. Les 128 Mo ne contribuent que difficilement aux performances des tâches ordinaires. Plus de mémoire peut même, à la limite, se révéler contre-productif si la fréquence de fonctionnement est plus faible. La bande passante (la quantité d’informations qu’elle peut écrire ou lire en une seconde) dans ce cas est plus faible et les est directeur du laboratoire de Micro Hebdo performances régressent. Enfin, les cartes les plus évoluées ne donnent toute leur puissance que dans un PC lui-même muni dun processeur ultrapuissant, travaillant dans de hautes définitions graphiques avec un grand écran (19 pouces et au-delà) et à des fréquences de rafraîchissement peu courantes, surtout pour les écrans plats TFT.
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