Il n’y a pas si longtemps de cela, les ultraportables, ces modèles à petit écran (12 pouces de diagonale, soit 30,5 cm, voire moins) et d’un poids inférieur à 2 kg, étaient essentiellement réservés aux professionnels :
en effet, eux seuls ?” ou plutôt, leur entreprise ! ?” avaient les moyens de s’offrir ces machines, souvent vendues 2 000 ou 3 000 euros. Mais aujourd’hui, les prix se sont littéralement écroulés : ces derniers mois,
tour à tour, Averatec, Toshiba et Samsung ont proposé des configurations à moins de 1 500 euros.Et maintenant, c’est au tour de Packard Bell de franchir une nouvelle étape : ainsi, son ultraportable Easynote BU45 est l’un des tout premiers à atteindre la barre psychologique des 1 000 euros, sans toutefois transiger sur
l’équipement (un processeur à double c?”ur Core 2 Duo, 1 Go de mémoire, une webcam intégrée à l’écran, un lecteur d’empreintes digitales, liaisons Wi-Fi et Bluetooth).Mieux : l’Easynote BU45 est disponible en grande surface, ce qui était une exception jusqu’alors ! Cet ultraportable côtoie dans les rayonnages le SIM 2060 de Medion, un modèle représentatif d’une autre tendance : le
modèle ‘ pour filles ‘. Il y avait déjà eu le S6 d’Asus, joliment recouvert de cuir rose ; Medion, lui, a fait appel au célèbre cristallier Swarovski pour orner son modèle de 300 brillants qui
forment des fleurs sur la coque (portable vendu 1 300 euros). Les victimes de la mode vont a-do-rer !
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