Je me réfère au sujet ‘ Film numérique trouble ‘ paru dans Micro Hebdo 453, page 12. J’ai procédé à la numérisation de tous mes films 8 mm et Super 8, ce
qui représentait environ 25 bobines de 120 mètres. Vous comprendrez que d’un point de vue économique, je ne pouvais envisager d’utiliser votre solution, à savoir faire appel à des professionnels. Je puis vous indiquer que le résultat de ma
numérisation est tout à fait acceptable en pratiquant comme suit :
utilisation d’un projecteur normal d’amateur.
projection sur un cartonnage blanc mat à environ 1,2 mètre de distance, soit une diagonale d’image sur l’écran de 30 à 35 cm ; il ne faut surtout pas utiliser d’écran perlé. Projeter à une vitesse légèrement supérieure à la
vitesse normale.
pour le caméscope numérique, débrayer l’autofocus, faire une mise au point manuelle et désactiver le stabilisateur d’image, s’il existe.
Je précise que ces conseils m’ont été fournis par un professionnel. Je vous les transmets afin de vous permettre de les mettre à la disposition de vos lecteurs, si vous le jugez utile.
Michel CortierComme nous l’avions conseillé, il faut en effet débrayer lautofocus du caméscope numérique. Pour le reste, la solution que vous proposez représente un compromis qui est, selon vos propres termes, ‘ tout à fait
acceptable ‘ pour qui a beaucoup de films et des moyens financiers limités. Mais ceux qui tiennent absolument à obtenir une prise de vues très soignée devront en passer par du matériel professionnel ou des entreprises
spécialisées.
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