- Neuf GPS à moins de 200 euros
- Tableau comparatif
- Nos aventures au volant
- On aime, on n’aime pas…
- Quoi de neuf sur les derniers modèles sortis ?
- Comment nous les avons testés
Au fil des kilomètres parcourus en compagnie de ces GPS, on découvre le petit tic, voire l’énorme TOC (trouble obsessionnel du comportement) de chaque modèle. C’est rigolo au début, agaçant à la fin.Prenons l’Acer V200. Il vous avertit si vous dépassez la limitation de vitesse. En principe, c’est utile, mais sur ce modèle, c’est insupportable. Cette fonction ne tolère aucune marge. Vous roulez à 92 au lieu de 90 ? Vous
tardez à ralentir en entrée d’agglomération ? L’appareil vous rappelle à l’ordre immédiatement. Et parfois, il vous invective alors que vous respectez scrupuleusement le 50 en ville. ‘ Vous dépassez la vitesse
autorisée… vous dépassez la vitesse autorisée… ‘ L’avertissement de dépassement de vitesse du Via Michelin est plus drôle : quand on va trop vite, il émet un son ressemblant à un
‘ cot-cot ‘ ou à un ‘ coin-coin ‘ !
On y rencontre des contradictions !
Les calculs d’itinéraires privilégient les grands axes par rapport aux voies secondaires, et ce n’est pas toujours une bonne idée. Le TomTom One est l’un des pires : face à une rue qui file droit à destination, il préfère
vous faire bifurquer vers un boulevard, quitte à ajouter un kilomètre à un trajet qui n’en comptait plus que… deux ! Et il y a parfois les bugs du logiciel. Si on tape Montigny-le-Bretonneux, le Mio C230 n’attendra pas qu’on lui soumette
une adresse précise : il indiquera obstinément la mairie et rien que la mairie. Et, sur l’autoroute A12, en rentrant vers Paris, le même Mio C230 nous a dit de ‘ serrer à gauche ‘ tandis qu’à
l’écran, la carte nous montrait qu’il fallait prendre à droite ! Quand on connaît le chemin, on s’en sort… D’un autre côté, si lon connaît le chemin, pourquoi utiliser un GPS ?
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