Ce jeu d’action futuriste propose d’incarner le docteur Jack Mason, chargé de superviser le transfert d’une prisonnière porteuse d’un virus extrêmement contagieux, depuis la Terre, presque entièrement abandonnée, vers un centre
médical en orbite. Mais peu après le décollage, l’appareil est abattu par un missile. La captive, qui a survécu au crash, représente désormais une menace pour le système solaire. Jack dispose de seize heures pour la retrouver avant que les forces en
orbite ne rasent la planète pour éviter la propagation du virus. A mi-chemin entre Halo et Far Cry, Pariah ne possède toutefois pas la beauté de ses illustres prédécesseurs. Les décors
sont malgré tout agréables, aussi bien au niveau de la végétation, luxuriante et variée, que des intérieurs tout à fait dans l’esprit des bases spatiales des films de science-fiction. Le système de jeu est assez classique : comme dans
Halo, on dirige un personnage en vue subjective ou à la troisième personne, selon que l’on se déplace à pied ou que l’on préfère emprunter des véhicules. Les ennemis, tous humains ne sont malheureusement pas bien futés. Il est
rare, par exemple, qu’ils cherchent à se mettre à l’abri lorsqu’on les canarde. C’est un peu décevant. A noter, la possibilité d’améliorer l’efficacité des armes de base, grâce à des modules ramassés au fur et à mesure sur le terrain et à la
présence de nombreux modes multijoueurs.
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