L’éditeur lance une énième attaque à l’encontre des cybersquatteurs, ces mauvais plaisantins qui enregistrent des noms de sites correspondant à une marque en y glissant une faute de frappe, dans le but de proposer au propriétaire de la marque ainsi lésée de racheter l’adresse mal orthographiée ou bien de se rémunérer à partir de la publicité. Ces six derniers mois, Microsoft a ainsi repéré 1 100 noms de domaine frauduleux liés à ses logiciels. Dorénavant, l’éditeur entend non seulement récupérer les noms de domaine mais aussi les profits tirés par le cybersquatteur grâce à leurs détournements.Un premier accord vient ainsi d’être conclu avec Dyslexic Domain Company. Accusée davoir enregistré pas moins de 6 000 noms de domaine, elle devra verser la somme de 46 000 dollars à Microsoft.
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