Ce grand voyageur utilise son Tréo 600 pour rester en contact avec sa tribu et ses collègues lors de ses voyages à l’étranger.
Francis Ia, 35 ans, consultant en informatique, ParisAvant, j’avais un smartphone SPV Orange fonctionnant sous Windows Mobile. Mais il s’arrêtait et redémarrait sans cesse, sans perte de données, heureusement. Quand j’ai changé de travail, il y a trois ans, ma nouvelle entreprise
m’a offert un Tréo 600. Cet appareil combine les fonctions de PDA sous Palm OS et de téléphone. Et là, plus de problèmes ! Depuis que je l’ai, il n’a redémarré qu’une fois, et pourtant je l’utilise tout le temps, autant à titre personnel que
professionnel. L’un de ses atouts, c’est son clavier Azerty, plus pratique que le clavier de téléphone de mon ancien SPV. Amené à me déplacer dans le monde entier pour mon travail, j’apprécie de pouvoir utiliser ce téléphone quadribande, quel que
soit le continent où je me trouve. J’ai envoyé des mails du Japon, où j’ai passé mes dernières vacances, des Etats-Unis, du Canada, de Nouvelle-Zélande… Le téléphone est assez simple à configurer, même pour moi qui ne suis pas doué pour
utiliser les appareils électroniques. Il suffit de lire le mode d’emploi et de connaître les adresses du serveur de messagerie et ses identifiants. Mon Tréo a une fonction que je n’ai vue sur aucun autre modèle : lorsque je reçois un SMS, il
affiche l’historique de tous les messages échangés durant les derniers mois avec son expéditeur. Comme cela, je me remémore vite notre dernière conversation. Le seul défaut de cet appareil, c’est la navigation sur Internet : si le Tréo surfe
bien sur les sites Wap, élaborés pour les téléphones, il patauge avec les sites classiques. Mais globalement, les avantages l’emportent sur les inconvénients. Depuis que j’ai mon Tréo, je peux discuter grâce à mon kit mains-libres tout en pianotant
sur le clavier de mon PDA. Je n’ai plus à le chercher dans mes poches quand je téléphone !
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