Aux côtés de l’écorché Francis Bacon, mon peintre préféré demeure Magritte pour son humour, son sens de l’absurde et, bien sûr, sa poésie. Vous comprendrez donc mieux pourquoi j’apprécie les ?”uvres de son alter ego en photographie : l’Espagnol Chema Madoz. Découvert il y a 20 ans à Montpellier lors d’une exposition, l’artiste est un adepte du jeu de mots visuel, du détournement sémantique et de l’association d’idées. Sans effets spéciaux et sans couleur, il met en scène des objets du quotidien pour réaliser des ?”uvres d’une poésie rare. C’est cette allumette dont la flamme n’est autre que le n?”ud d’une planche. Cest aussi cette horloge en forme de cercueil. Sans oublier cette pipe saxophone, hommage non dissimulé à ce cher Magritte. Je vous laisse feuilleter son site et vous invite à télécharger un diaporama de ses plus belles photographies à cette adresse : www.infotechart.com/pps/chemamadoz.www.chemamadoz.com
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