Depuis que les consoles de jeux existent, des fabricants, essentiellement hongkongais ou taïwanais, proposent aux utilisateurs avertis de ‘ pucer ‘ leur appareil : cela consiste à souder une puce spéciale sur la carte mère, qui permet de jouer à des jeux piratés, mais aussi de lire des films ou de la musique. Les consoles de poche n’échappent pas au phénomène. Sauf qu’ici, pas de soudure : la puce se présente sous la forme d’une cartouche de jeu standard, appelée ‘ linker ‘, et dotée d’un emplacement pour une carte mémoire sur laquelle on aura copié le jeu téléchargé. Seul souci : son utilisation suppose d’avoir au préalable reprogrammé le système de la console pour en supprimer la protection ?” une opération très dangereuse !La toute dernière génération de ‘ linkers ‘ pour la Nintendo DS s’affranchit de cette contrainte. Et fait donc trembler les éditeurs de jeux. Heureusement pour eux, la petite capacité de production des fabricants de linkers n’est pas à même de répondre à la demande. Impossible den trouver un en stock sur les sites spécialisés !
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