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L’impact sur les performances

Si bien des utilisateurs n’ont pas d’antivirus, c’est parce qu’ils considèrent que ces protections ralentissent trop leur machine. Un point très important auquel Microsoft semble avoir…

Si bien des utilisateurs n’ont pas d’antivirus, c’est parce qu’ils considèrent que ces protections ralentissent trop leur machine. Un point très important auquel Microsoft semble avoir prêté attention. Le logiciel se montre plutôt léger sur le système.

Certes sa consommation de mémoire est plutôt importante pour un antivirus, mais elle reste inférieure à celle de la plupart des suites. En outre, le logiciel prend ses aises lorsqu’il y a de la mémoire disponible (comptez 125 Mo environ pour un PC doté de 1 Go de RAM).

Son impact sur les opérations de fichiers est très sensible, particulièrement dans les phases de compression et de décompression d’archives (grosso modo, il double le temps de décompression des archives ZIP).

On notera quand même que le boot n’est pas vraiment affecté par le logiciel. Le bureau apparaît aussi rapidement avec ou sans l’antivirus. Le retour à 0 % de CPU après le boot s’effectue environ 10 secondes plus tard que sur une machine vierge (ce qui est un score excellent, les antivirus vérifiant une multitude de choses au démarrage du système).

L’antivirus n’a aucun impact sur les navigations Web et les transferts HTTP, ce qui prouve qu’il n’agit pas au niveau de ces couches mais se focalise sur les actions au niveau des fichiers.

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Par : Opera

Loïc Duval