Il faudra encore patienter pour savoir si nos téléphones mobiles sont en train de nous détruire le cerveau à petit feu. Bien que terminée, la grande étude Interphone lancée en 1998 à travers treize pays ne devrait pas voir ses résultats publiés avant l’automne. Pourquoi ce retard supplémentaire ? Il semblerait que les milliers de données récoltées n’aient pas encore toutes été analysées, et que les chercheurs aient des difficultés à les interpréter et, surtout, à se mettre d’accord sur les conclusions. On peut tenter de se rassurer en se disant que si un risque vraiment flagrant avait été mis en évidence par cette étude, les chercheurs auraient mis plus d’empressement à en publier les résultats pour avertir lopinion publique
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