On aime… la facilité d’installation du toner
Installer la cartouche de toner est parfois une opération délicate, et cette poudre noire est très salissante. Sur la Lexmark, tout se passe en façade, et le logement de la cartouche est aisément accessible. Le système est bien conçu et on remplace le toner sans avoir à retirer le tambour
On aime… l’impression recto-verso
Si la plupart des imprimantes de ce banc d’essai proposent une fonction recto-verso, celle-ci est presque toujours manuelle. Il faut alors attendre la fin de l’impression pour retourner la liasse de feuilles et, parfois, faire un tri. Ce qui peut s’avérer très fastidieux pour une pile d’impressions. Ce modèle intègre un module automatique recto-verso qui se charge de la man?”uvre
On aime… le port parallèle
Ce port, qui tend à disparaître, permet de connecter l’imprimante à deux PC sans passer par l’installation d’un réseau domestique. Un petit plus qui peut se révéler bien utile, à condition que les ordinateurs soient également équipés de cette interface
On n’aime pas… l’esthétique
Son encombrement est similaire aux autres machines du banc d’essai. Le papier est même rangé dans un tiroir escamotable sous l’imprimante, mais son ‘ caractère monolithique ‘ ne passe pas inaperçu ! Cet énorme bloc gris et blanc aura bien du mal à se fondre dans le décor
On n’aime pas… la petite cartouche de démarrage
Compte tenu du prix de l’imprimante, 210 euros, et de celui d’une cartouche de rechange de toner, 77 euros, on peut juger que la cartouche de démarrage avec son autonomie de 1 000 pages est vraiment chiche. Le constructeur, sans être particulièrement généreux, aurait pu aller jusqu’à 1 500 pages !