On aime… la qualité audio
Le Sansa a obtenu de notre jury les meilleures notes pour la qualité sonore, tant avec les écouteurs fournis (7,1, à égalité avec le T.Sonic de Transcend) qu’avec le casque de référence (8,6). Un jugement qui se trouve confirmé par les mesures du laboratoire : sa bande passante, notamment, est la plus large de ce comparatif. Seul le rapport signal/bruit laisse à désirer, ce qui peut se traduire par un bruit de fond perceptible lors de l’écoute d’une musique douce à fort volume
On aime… le lecteur de cartes MicroSD
Si les 4 Go de mémoire interne du Sansa ne vous suffisent pas, vous pouvez y insérer une carte mémoire au format MicroSD. Ces cartes SD miniatures, parfois livrées avec les téléphones mobiles, se banalisent. Il en existe de 2 Go, 4 Go et même 8 Go
On aime… la compatibilité avec le format Wave et les DRM Microsoft
Comme le vainqueur, l’YP-T10 de Samsung, le Sansa est compatible avec les DRM Microsoft : vous pouvez l’utiliser pour écouter les fichiers WMA achetés sur Internet. Et contrairement à lui, il lit aussi les fichiers Wave
On n’aime pas… le format vidéo propriétaire
Comme la plupart des autres modèles, le Sansa peut afficher des images au format Jpeg. Il est aussi capable de lire des vidéos, à condition qu’elles aient été préalablement converties au format QuickTime M-Jpeg à l’aide du logiciel fourni (Sansa Media Convertor). Une manipulation contraignante, qui risque de décourager bon nombre d’utilisateurs
On n’aime pas… le classement par tags uniquement
Pour naviguer dans les fichiers audio du Sansa, vous devez choisir un critère : artistes, albums, genres, chansons ou encore ‘ les mieux notés ‘. En effet, comme d’autres fabricants, Apple notamment, Sandisk a choisi le classement par tags ID3 uniquement, au détriment du classement par dossiers et noms de fichiers. Rappelons que les tags ID3 sont des informations stockées directement dans les fichiers MP3, WMA ou AAC, qui aident à les identifier. Ce choix présente des inconvénients pour l’utilisateur, le principal étant que les morceaux dont les tags ID3 n’ont pas été indiqués (parce que cette option n’a pas été activée lors de lencodage) sont très difficiles à retrouver