On aime… la double compatibilité WAP et GPRS
Inutile d’espérer trouver, dans cette catégorie de téléphones mobiles, des modèles compatibles avec les réseaux de troisième génération comme l’UMTS et l’Edge. Il faut se contenter le plus souvent de mobiles bibandes, au mieux tribandes. Sur ce plan, le my200c va un peu plus loin que ses concurrents, puisqu’il est compatible avec les réseaux d’échanges de données WAP et GPRS
On aime… le confort d’emploi du clavier
Voici un clavier qui conviendra à toutes les morphologies. Ses touches sont relativement larges et bien différenciées. De plus, leur surface est agréable au toucher. Autant d’atouts pour une saisie rapide et décontractée
On aime… la sensibilité de la réception
Il est énervant de perdre le fil d’une communication quand on se trouve dans le métro, dans un parking, ou lorsqu’on emprunte un ascenseur… Autant de situations qui ne font pas peur au my200C, puisque c’est celui qui offre la meilleure sensibilité en réception
On aime… l’autonomie
Sagem annonce pour le my200C une autonomie en communication de 4 heures. Toutefois lors de nos tests, la batterie du téléphone ne s’est déchargée entièrement qu’après 6 heures 20 minutes de communication ! Un résultat excellent, surtout lorsqu’on le compare aux 3 heures 7 minutes d’autonomie obtenues par l’autre modèle Sagem de ce banc d’essai, le my220x
On n’aime pas… le prix
Côté prix, le Sagem my200c se classe dans la fourchette haute : 75 euros hors abonnement, ce qui est un tarif relativement élevé. Seul le Nokia 1650 est plus cher, mais il a l’excuse d’être aussi plus évolué. En effet, il intègre une radio FM
On n’aime pas… la taille de l’écran
Sortez vos lunettes ! Avec un écran de 2,5 cm sur 2,8 cm seulement, le my200c est le modèle qui offre la surface d’affichage la plus réduite. Cela peut s’avérer particulièrement gênant pour naviguer dans la liste de ses contacts, ou pour lire confortablement les SMS un peu longs. En revanche, l’écran est de bonne facture, notamment grâce à un rétroéclairage de bonne qualité