On aime… le vrai flash
Les deux modèles de Samsung en sont totalement dépourvus. Pourtant, prendre des photos en intérieur sans flash relève parfois du défi. Le K810i possède, lui, un flash semblable à ceux des vrais appareils photos numériques
On aime… le clapet de protection de l’objectif
Un téléphone, encore plus qu’un appareil photo, est amené à être manipulé. Aussi, lorsque l’objectif n’est pas protégé, il risque fort d’être rapidement couvert de grosses empreintes de doigts. De quoi compromettre la qualité des photos. Or, le modèle de Sony Ericsson est doté d’un petit clapet destiné à préserver l’objectif de ce genre de désagrément. Bien pensé
On aime… le son
En termes de son aussi, il est devant les autres. Avec le casque fourni, il obtient une excellente note de la part du jury. En outre, il accepte de nombreux formats audio, MP3 bien sûr, mais aussi AAC, Wav, WMA
On aime… la bonne qualité des photos
Dans le domaine de la photo, c’est le meilleur de cette sélection. Il se distingue cependant davantage par la qualité de la couleur que par la précision de l’image
On aime… l’accès facile à la mémoire
Tous les téléphones de ce banc sont munis d’un lecteur de cartes mémoire pour augmenter leur capacité de stockage. Et rien de plus pénible que de devoir retirer la coque du téléphone pour atteindre la carte mémoire. Ce n’est pas le cas avec le K810i. Il suffit en effet de soulever un petit clapet sur le côté du téléphone pour accéder à la carte mémoire. Autre bon point pour ce modèle : c’est le seul à être fourni avec une mémoire amovible de 128 Mo, bien utile pour stocker photos et musique
On n’aime pas… la qualité médiocre de la vidéo
Les vidéos sont saccadées en lecture et de qualité très moyenne en capture. Ne comptez donc pas sur ce photophone pour filmer les événements importants de votre vie. Le résultat risque de se révéler très décevant
On n’aime pas… l’autonomie moyenne
Le constructeur annonçait 10 h 35 min d’autonomie. Nous n’avons pu en compter que 3 h 40 min. Gros décalage. Vous ne pourrez donc converser qu’un peu plus de trois heures, avant le fatidique ‘ désolé, ça va couper, je suis à court de batteries ‘