On aime… l’accès aisé aux cartouches
Jusqu’ici, les constructeurs ont déployé des efforts d’imagination pour placer les cartouches au c?”ur même de la machine. Bien souvent, il faut ouvrir le capot de l’imprimante et, une fois la trappe d’accès repérée, extirper
les cartouches une à une comme on peut, parfois en s’abîmant les doigts ! Avec ce modèle de Brother, rien de tout cela : la trappe est accessible directement sur la façade de la machine et, une fois qu’elle est ouverte, les cartouches
glissent toutes seules.
On aime… le bas prix et le faible coût à la page
Question coût, la DCP-330C gagne sur tous les tableaux ! A l’achat d’abord, puisqu’elle s’affiche à moins de 100 euros. A l’usage ensuite, avec un coût à la page parmi les plus bas : 0,19 euro la photo
10 x 15, et 0,80 euro la photo couleur au format A4. A comparer aux 0,52 et 2,14 euros de la plus chère du lot, la HP Photosmart C3180…
On aime… l’encombrement minimum
Ceux qui ont comme critère essentiel l’encombrement ne seront pas insensibles aux Brother. Compacte comme sa s?”ur, la DCP-330C se charge en papier sur la façade avant. C’est aussi par-devant que l’on réceptionne les
impressions et photocopies ; pas besoin de déplier 40,5 cm un réceptacle arrière. Conclusion : elle tient 15 cm sur une petite étagère, entre deux dictionnaires !
On n’aime pas… les performances en mode numérisation
Le scanner, c’est son point faible. Notre jury l’a classée bonne dernière sur la qualité de numérisation des documents qu’il lui a confiés. On notera aussi, à l’instar de quatre autres modèles, l’absence de détramage. Bien sûr,
il sera toujours possible de scanner une page de magazine, mais le travail de numérisation sera réalisé comme pour n’importe quel autre document. Et les résultats en termes de netteté sen feront sentir.