On aime… le prix
Vendu 99 euros, ce modèle constitue à coup sûr une bonne affaire. Il coûte environ deux fois moins cher que le gagnant de ce banc d’essai. De plus, l’écart entre leurs performances est plutôt mince, surtout pour la numérisation
de documents opaques
On aime… la qualité du logiciel de reconnaissance de caractères
C’est avec fidélité que le logiciel d’OCR a retranscrit les documents semés d’embûches que nous lui avons soumis. Ainsi la mise en page originale est respectée, notamment dans les espacements des paragraphes, bien souvent
négligés par d’autres logiciels, et les tableaux sont conformes aux originaux. Il bute juste un peu sur certaines polices, quand les caractères sont en corps inférieurs à 8
On aime… les boutons de commande
Pour certaines actions répétitives, il est bien plus simple d’appuyer sur un bouton que de faire appel aux divers menus proposés par les pilotes. Grâce aux nombreux boutons de commandes présents sur le CanoScan 4400F, effectuer
une copie, numériser un document, l’envoyer par courriel ou le convertir en fichier PDF s’effectue d’un seul geste
On n’aime pas… la lenteur de numérisation des films et des diapos
La célérité n’est pas à porter au nombre des qualités du CanoScan 4400F. En effet, il faut compter 1 minute et 52 secondes pour numériser une diapositive en 2 400 ppp, et 1 minute 55 pour des négatifs
24 x 36.
Pour les documents opaques, il fait aussi partie des plus lents. Numériser une page A4 en noir et blanc demande 30 secondes, et il lui faut 31 secondes pour détramer une page. Mais il est bien plus performant avec les
photos : seul le CanoScan 8600F est plus rapide que lui
On n’aime pas… la faible capacité du module à transparents
Mieux vaut n’avoir besoin de lui quoccasionnellement pour numériser des transparents. En cause, la capacité limitée du module : on ne peut numériser simultanément que six vues en 35 mm ou quatre diapositives