On aime… la précision du laser
Les souris sans boule disposent généralement d’un capteur optique : une Led éclaire la surface (bureau, table…), et la lumière réfléchie est captée à travers un système de lentilles et acheminée vers une mini-caméra. Une fois la surface photographiée, un processeur de signaux numériques détermine le mouvement horizontal et vertical via une analyse des caractéristiques microscopiques. Seul hic : ce type de souris n’est pas très efficace sur du bois ou une surface brillante. Le laser permet un meilleur suivi des déplacements, y compris sur des surfaces très claires ou très sombres.
On aime… le bouton on/off sur la souris
L’utilisateur peut gérer au mieux l’énergie de la souris en pressant le bouton on/off permettant de la mettre hors tension en cas d’inactivité. Certes, ce serait encore plus facile si le bouton était accessible sur le dessus et non sur le dessous de l’appareil. Mais c’est mieux que rien.
On aime… la présence d’une jauge d’alimentation
Les jauges d’alimentation, présentes à la fois sur le clavier, sur la souris et dans le logiciel, devraient aider à éviter les pannes de batterie, ô combien contrariantes. On peut, à ce sujet, regretter que Logitech ne fournisse pas de batteries rechargeables…
On aime et on n’aime pas… la richesse des fonctions
Voici un clavier que vous pouvez façonner à votre guise, en fonction de vos besoins et de vos habitudes. Aux 103 touches standards, s’ajoutent huit touches spéciales à fonction unique, et 14 que l’on peut reprogrammer (en sélectionnant une fonction parmi un choix restreint). Enfin, la fonction de cinq autres touches peut être totalement personnalisée.
On n’aime pas… la taille réduite de certaines touches
Pour s’accommoder d’une nouvelle disposition des touches, certaines d’entre elles ont été réduites. Ainsi en va-t-il pour la touche Maj gauche, ce qui peut se révéler gênant. A l’inverse, la touche Suppr est allongée, ce qui déplace le bouton Inser un peu plus haut. En somme, un petit temps d’adaptation peut se révéler nécessaire.