Les vainqueurs : on aime, on n'aime pas...

Brother HL-5130

On aime… la gestion du papier

Cette imprimante possède un bac d’entrée pour le papier, et aussi un véritable tiroir capable d’accueillir 250 pages. Vous pouvez ainsi vous servir de l’un ou de l’autre suivant vos besoins et la place dont vous disposez. Le tiroir protège les feuilles de la poussière, mais demande une place suffisante pour pouvoir l’ouvrir. Comme sur la Samsung ML-1510, une jauge très pratique indique la quantité de papier restant dans le tiroir

On aime… la rapidité

Vite et bien ! La HL-5130 ne se contente pas d’imprimer des documents de qualité, elle sait aussi le faire dans des temps très corrects. Seules l’Epson et la Oki travaillent plus vite, mais pour une qualité inférieure. La Brother se montre également rapide pour imprimer des textes (4 secondes la page en moyenne) ou des graphiques (13 secondes la page). Elle ne ralentit la cadence que lorsqu’elle doit imprimer une photo. Une fonction à laquelle, a priori, on ne la destine pas

On aime… le coût à la page

Grâce à leur grande autonomie (7 372 pages) et à leur prix pas trop élevé (70 euros pièce), les cartouches de toner de cette imprimante lui assurent un coût à la page remarquablement bas : moins de 1 centime par page, alors que la moyenne se situe à 2,3 centimes ! Un point appréciable, en particulier pour les grands consommateurs

On aime… la qualité d’impression

Quel que soit l’usage prévu pour cette imprimante, la qualité des impressions sera au rendez-vous. Alors que les autres modèles de cette sélection obtiennent des résultats hétérogènes selon le type de document à imprimer, cette Brother HL-5130 se débrouille aussi bien avec les textes, les graphiques et, dans une moindre mesure, les photographies

On n’aime pas… le pilote

Seul bémol dans les excellentes performances de ce modèle : l’impossibilité d’enregistrer des réglages personnalisés dans le pilote. Pourtant facile à installer et à utiliser, ce pilote, en français, souffre cruellement de l’absence de cette fonction, qui s’avère utile si vous ne vous contentez pas d’imprimer des courriers au format A4 et que vos documents présentent des tailles et des types variés (photos au format A5, recto verso, etc.)

Samsung ML-1510

On aime… la facilité d’installation

Vous n’avez pas envie de passer des heures à installer le pilote ou à étudier un mode d’emploi pour réussir à changer la cartouche de toner ? En termes de facilité d’installation et d’utilisation, cette imprimante est remarquable : avec trois notes de 10/10 obtenues pour la facilité d’installation du toner, du pilote et pour son utilisation (tout comme le modèle HP), ce modèle ergonomique conviendra parfaitement aux débutants

On aime… la règle coulissante du tiroir

Vous imprimez des courriers classiques, mais aussi des invitations et les enveloppes qui les accompagnent ? Cette imprimante possède, sur la porte du tiroir à papier, une règle coulissante. Une fois insérés dans le tiroir, vos documents sont calés d’un simple geste !

On aime… la petite taille

Compacte, la ML-1510 a une taille réduite, parfaitement adaptée aux petits bureaux. Munie d’un bac d’entrée repliable capable d’accueillir 250 feuilles et d’un tiroir qui, comme sur la Brother, possède une jauge, elle n’a besoin que d’un petit espace pour travailler. Dommage que son look, blanc et bleu, lui donne un aspect aussi tristounet

On n’aime pas… l’absence de port parallèle

Même si les PC commercialisés ces dernières années disposent tous de ports USB, on peut regretter l’absence, sur la Samsung (comme sur la Canon et la HP), d’un port parallèle. En effet, une imprimante à laser monochrome est généralement réservée à l’impression de textes ou de graphiques en noir et blanc… soit des travaux qui ne nécessitent pas un ordinateur dernier cri et qui peuvent parfaitement être réalisés sur une veille machine réservée à cet usage, et donc démunie d’USB

On n’aime pas… la lenteur d’impression

Avec une durée moyenne de cinq secondes pour l’impression d’une page de texte, cette imprimante obtient l’un des plus mauvais résultats de nos tests. Cette contre-performance relative nest pas due à son rythme une fois lancée, mais au préchauffage nécessaire à la sortie de la première page. Comme la Oki B4200, il lui faut, en effet, 38 secondes pour se remettre à fonctionner après un temps de veille

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Anne Lindivat