Les vainqueurs : on aime, on n'aime pas...

Agenda électronique : Sony Clié Peg-SL10/E

On aime… la facilité d’utilisation

Même s’il se situe en entrée de gamme, ce modèle ne fait pas exception à la règle établie par Sony pour ses PC de poche et ses agendas électroniques : il est simple et agréable à utiliser. La navigation est facilitée par une molette située sur la tranche de l’appareil, et une touche ‘ back ‘ permet de revenir en arrière d’une simple pression. La qualité d’affichage est très bonne, et la saisie de données excellente, grâce notamment à cinq touches personnalisables permettant de lancer les programmes

On aime… la qualité de la documentation

Que ce soit à propos de la prise en main de cet agenda électronique ou sur l’utilisation des logiciels livrés, Sony a concocté une documentation claire et bien détaillée. Elle est même accompagnée de quelques pages sur la résolution des problèmes couramment rencontrés. Voilà qui devrait convenir parfaitement aux débutants

On aime… la communication avec un PC

Comme les deux autres modèles de Sony présents dans notre comparatif, ce Clié est doué pour communiquer avec un PC. Relié au micro par l’intermédiaire d’une prise USB, il ne lui faut que 23 secondes pour récupérer un fichier de 3,24 Mo

On n’aime pas… la carte mémoire Memory Stick

Alors que le format de carte Secure Digital se généralise dans les PC de poche, qu’ils fonctionnent sous Palm OS ou Pocket PC, Sony continue de jouer sa carte personnelle avec son format Memory Stick. Difficile, dans ces conditions, d’échanger des données d’un appareil à un autre, à moins de n’être équipé qu’en Sony

On n’aime pas… l’alimentation par piles

Le Clié Peg-SL10/E étant un modèle d’entrée de gamme, Sony a décidé de le doter de piles pour l’alimenter et non d’une batterie. De plus, les piles livrées avec l’appareil ne sont pas rechargeables. Il faudra donc soit changer les piles à chaque fois, soit acheter des piles rechargeables et un chargeur. C’est dommage

PC de poche : Packard Bell PocketGear 2030

On aime… l’encombrement et le poids

Modèle d’élégance et de finesse, avec sa coque en aluminium brossé, le Pocket-Gear 2030 se distingue également par son poids record : il ne pèse que 119 grammes ! C’est plus de 30 grammes de gagné par rapport à son prédécesseur le Pocket-Gear 2060. Et son épaisseur n’est pas en reste puisque, avec seulement 12 mm, c’est là aussi un record pour la catégorie. Des mensurations qui lui permettent de tenir sans problème dans une poche de chemise, par exemple

On aime… la quantité de mémoire vive

Autre record à l’actif de ce PC de poche, la quantité de mémoire vive embarquée. Il est en effet doté d’origine de 64 Mo, là où ses concurrents ne disposent que de 32 ou 16 Mo. C’est pratique pour ajouter de nouveaux programmes ou stocker des documents comme des photos issues d’un appareil numérique. Cela permet également d’écouter de la musique ou de regarder de courtes séquences vidéo

On aime… la fonction dictaphone

Le Cassiopeia EM-505f de Casio et le PocketGear 2030 sont les seuls à être dotés de la fonction dictaphone. Le modèle de Packard Bell possède un micro intégré et un magnétophone interne piloté par le système d’exploitation Pocket PC 2002 de l’appareil. Grâce aux 64 Mo de mémoire, vous pourrez ainsi enregistrer facilement plusieurs heures de conversation

On n’aime pas… la qualité de la documentation

Si la documentation du PocketGear 2030 est suffisante pour la prise en main de l’appareil, il n’en est pas de même pour les logiciels. Leur utilisation est à peine évoquée. De plus, vous risquez fort de vous retrouver désarmé à la moindre panne, car la notice ne contient aucune explication sur la résolution des problèmes

On n’aime pas… l’autonomie

Sept heures d’autonomie seulement, qui descendent à moins de cinq heures en cas d’utilisation du rétroéclairage, voilà qui est bien maigre pour un produit nomade. N’espérez pas l’utiliser plus de deux jours sans avoir à le recharger, et noubliez donc pas sa base en déplacement

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.

Emmanuel Genty