Les vainqueurs...

iRiver IMP 550 (SlimX)

On aime… la qualité de la télécommande

Très bien fini, le baladeur iRiver dispose d’une télécommande pour passer d’une chanson à une autre sans sortir le baladeur de sa poche. D’ailleurs, toutes les fonctions du baladeur sont accessibles uniquement depuis la
télécommande. Pour les fonctions basiques, c’est un modèle du genre. En revanche, si vous souhaitez accéder à des fonctions plus avancées (égaliseur, par exemple), un coup d’?”il à la documentation (réussie) s’impose

On aime… la qualité de l’écran

La présence d’un écran de grande taille est souvent bon signe. Celui de l’IMP 550 peut afficher jusqu’à quatre lignes de texte. Parfaitement lisible, rétro-éclairé, cet écran permet de lire la quasi-totalité des informations
relatives à un morceau sans avoir besoin de faire défiler le texte

On aime… qualité sonore

Comme son frère jumeau, le Freecom Beatman 3 Slim CD, le modèle de iRiver est livré avec un casque Sennheiser, gage de bonne qualité sonore. Equilibre du rendu, présence agréable des basses, clarté des voix…: ce
baladeur offre une excellente qualité de son, à quelques dixièmes près derrière le Sony. Grâce aux multiples préréglages de l’égaliseur et au mode personnalisé, vous pourrez adapter au mieux le son pour chaque type de chanson

On aime … la variété des fichiers acceptés

Même si le MP3 est le plus utilisé des formats de compression audio, il existe d’autres formats de fichiers concurrents comme le WMA ou le MP3 Pro. A l’instar du modèle de Thomson, le iRiver est le baladeur le plus
polyvalent puisqu’il est capable de lire ces trois types de fichiers.

Il fait mieux que le Lyra en étant capable d’exploiter aussi des listes de lecture (playlists) et des formats de fichiers plus confidentiels comme l’ASF, l’AAC ou le QDX

On n’aime pas… le niveau sonore hors norme

La réglementation est stricte : le volume maximal d’un baladeur ne doit pas dépasser les 100 décibels. Si les grandes marques (Philips, Sony, Thomson et Aïwa) respectent parfaitement cette loi, les autres fabricants
sont beaucoup moins rigoureux. L’iRiver entre, hélas, dans cette catégorie avec un volume maximal mesuré à 110 décibels par notre laboratoire. Fort heureusement, la très bonne qualité sonore tempère cette surpuissance

Waitec Rap

On aime… la clarté des menus

Même si les touches de navigation sont inversées par rapport à la concurrence, le Waitec Rap simplifie les manipulations en offrant des informations précises sur chacune des options. Même constat pendant la lecture d’un
morceau où ce baladeur affiche les noms des répertoires en cours. C’est plus facile pour passer d’un morceau à un autre, même lorsqu’ils sont placés dans des dossiers différents

On aime… le prix

A 120 euros, le Waitec Rap est une bonne affaire. Peu encombrant et offrant une bonne qualité d’écoute, il se classe quatrième du comparatif, avec des notes remarquables dans toutes les grandes catégories. Bien sûr, on
relève quelques imperfections, comme le manque de lisibilité de la jauge d’autonomie ou d’un logiciel d’encodage. Mais rien d’alarmant

On n’aime pas… la faible autonomie

Le Waitec Rap ne brille pas par son endurance : alors que certains modèles sont capables de fonctionner pendant trente, voire quarante heures, il s’éteint après neuf heures et quinze minutes (une caractéristique qu’il
partage avec son frère jumeau, le Napa DAV 398, d’A-Max). Et pour ne rien arranger, les batteries sont spécifiques au fabricant : les remplacer risque de relever de la mission impossible

On n’aime pas… la finition

Le baladeur Waitec et son clone chez A-Max proviennent des mêmes usines et partagent donc les mêmes défauts. Ainsi, la finition est loin d’être parfaite, avec notamment des faux contacts répétés au niveau de la télécommande.
Quant à la touche de blocage, située sur le baladeur, elle est difficile à manipuler. Même constat désagréable pour le bouton d’ouverture du magasin

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Fabrice Auclert