Fuzz.fr est un site à la sauce Web 2.0. C’est-à-dire qu’il se contente de publier des liens soumis par ses utilisateurs dont l’ordre de parution en une dépend du vote des internautes. Attaqué par l’acteur Olivier Martinez pour avoir publié un lien vers un article diffamant, Fuzz avait été jugé coupable en première instance, endossant au passage le rôle d’éditeur. Un véritable coup d’arrêt de la jurisprudence pour tous les sites collaboratifs.La cour d’appel de Paris vient d’infirmer le premier jugement et ne reconnaît finalement que le statut d’hébergeur aux sites de ce type. Contraint à un certain nombre de règles, comme une réaction rapide lorsqu’un contenu litigieux lui est signalé, un hébergeur ne peut, en revanche, être rendu responsable d’un lien ou dun titre de billet écrit par un internaute utilisateur. Le Web 2.0 souffle
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.