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Les limites du SAV pour les LCD

J’aimerais savoir ce qu’il en est à propos du remplacement des écrans LCD avec des ‘ pixels morts ‘ dont vous parlez dans Micro Hebdo n?’336….

J’aimerais savoir ce qu’il en est à propos du remplacement des écrans LCD avec des ‘ pixels morts ‘ dont vous parlez dans Micro Hebdo n?’336. En effet, j’ai lu qu’un consommateur avait porté une affaire de pixels défectueux devant les tribunaux. Si j’ai bon souvenir, le fabricant avait été condamné à remplacer l’appareil du client.Tout est affaire de respect pointilleux de la loi de la part des fabricants. Le témoignage suivant, que nous venons de recevoir de Daniel Schwaller, un de nos lecteurs, le montre bien : ‘ Lors de l’achat de mon moniteur LCD, j’ai remarqué que tous les fabricants font référence à la norme Iso 13406-2, mais très peu indiquent la classe de leur moniteur. J’ai eu le cas avec mon moniteur Samsung, que j’ai fait changer quatre fois. Chaque fois le SAV me rapportait un écran avec un pixel mort. J’ai argumenté que, lors de l’achat, la classe du moniteur n’était précisée ni sur la notice, ni sur le carton, ni sur la fiche publicitaire, et encore moins sur le site Internet du fabricant. Si la classe n’est pas indiquée, légalement la classe la plus avantageuse s’applique pour le consommateur (c’est-à-dire la Classe I, qui n’admet aucun défaut). D’ailleurs le SAV Samsung n’a pas fait obstruction au changement de mon appareil. ‘

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La rédaction