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Les autres modèles : on aime, on n’aime pas…
8 septembre 2005 à 00:00
Olympus m:Robe 100 On aime… le designTout de noir vêtu, un peu comme une plaque en vitrocéramique, lorsqu’il est éteint, le m:Robe 100 s’illumine de rouge…
Olympus m:Robe 100 On aime… le design
Tout de noir vêtu, un peu comme une plaque en vitrocéramique, lorsqu’il est éteint, le m:Robe 100 s’illumine de rouge lorsqu’on l’allume, laissant apparaître les différentes touches. L’effet est garanti ! A l’usage, c’est un vrai bonheur, puisqu’il suffit d’effleurer les touches pour piloter le baladeur et accéder aux réglages et aux fonctions. Et lorsqu’on verrouille le baladeur, les touches s’éteignent automatiquement
On aime… les intitulés des réglages
Outre la possibilité d’associer les paroles et la pochette de l’album à chaque titre, nous avons apprécié la clarté des intitulés des réglages sonores. Plutôt que de les nommer jazz ‘ , ‘ bass ‘ ou ‘ rock ‘ , Olympus les désigne par des termes plus explicites : ‘ accentuation voix ‘ , ‘ accentuation graves ‘ …
Rio Carbon On aime… la qualité du logiciel fourni
Le baladeur Rio Carbon, livré avec le logiciel Rio Music Manager, est véritablement simple à utiliser avec un PC. Qu’il s’agisse de gérer les morceaux, de créer des playlists ou de la synchronisation PC-baladeur, tout est prévu pour que l’utilisateur remplisse facilement son baladeur. Par exemple, il suffit de sélectionner des morceaux puis de faire un simple clic droit de la souris pour les envoyer vers l’appareil. Même simplicité d’usage pour l’encodage d’un CD en WMA. Si vous préférez le MP3, il faudra, en revanche, mettre à jour le logiciel. Une mise à jour rapide et gratuite
On n’aime pas… le volume sonore trop élevé
N’ayons pas peur des mots, le Carbon est dangereux pour les oreilles ! Alors qu’une réglementation fixe à 100 décibels le volume sonore maximal d’un baladeur, le Rio atteint le seuil incroyable de… 112 décibels. Le jury a d’ailleurs pu constater lors de nos tests qu’à haut volume, il était impossible de conserver le casque sur les oreilles
Mpio HD200 On n’aime pas… la documentation et le logiciel
Doté d’une bonne qualité d’écoute, le HD200 est malheureusement mal entouré. D’abord, la documentation consiste en… un vague manuel de démarrage rapide. Si vous souhaitez plus de détails, il faut se tourner vers le PDF inclus sur le CD. Et même le manuel au format électronique souffre de grosses lacunes, avec d’abord un chapitre en espagnol au milieu de la partie française ou encore presque aucune information sur le logiciel Mpio Utility qui… s’installe automatiquement sans laisser de choix à l’utilisateur ! Bref, de gros progrès sont à faire pour simplifier la vie de l’acheteur néophyte
Thomson PDP 2812 On n’aime pas… la qualité d’écoute
Le jury a apprécié la qualité sonore des baladeurs. Un seul a déçu, et c’est le Thomson. A niveau sonore maximal, il casse les oreilles (près de 110 décibels) et même lorsqu’on ajuste le son, on remarque un manque flagrant de présence des médiums et des basses. Et ce ne sont pas les écouteurs qui sont en cause, puisque même avec notre casque de référence, le son reste très moyen
Samsung YH820 On n’aime pas… la lenteur et le manque de simplicité
En retrait sur l’autonomie (à peine 6 heures), le YH820 souffre aussi de nombreux autres défauts. D’abord, il est lent à s’allumer. Comptez plusieurs secondes avant de pouvoir l’utiliser. Ensuite, dès que le rétroéclairage du bel écran couleur se coupe, toutes les informations affichées sur l’écran se figent. Même le temps écoulé ! Autre détail agaçant, cette fois-ci avec le logiciel fourni, il faut cliquer sur Gravage CD (sic !) pour transformer un CD-Audio en fichiers MP3. On n’a pas trouvé mieux pour embrouiller l’utilisateur…
Creative Zen Micro On n’aime pas… les touches sensitives
Ce n’est pas en minutes ou en heures que se compte le temps qu’il faut pour maîtriser le Zen Micro, c’est… en jours ! Les touches sensitives sont trop sensibles, notamment le curseur situé au centre, et provoquent beaucoup d’erreurs. Par exemple, il n’est pas rare que l’on supprime un morceau au lieu de le jouer ! C’est vraiment dommage, car les menus sont clairs et la navigation est rapide
On n’aime pas… la taille et le poids
Le Zen Micro n’a de micro que le nom. Il est en effet le plus lourd de ce comparatif avec 107 grammes.
En ce qui concerne l’épaisseur, il affiche 19 mm sur la tranche. C’est le deuxième plus épais de notre comparatif, loin derrière les 14 mm de liPod mini
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