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Les moteurs sans les lumières
Les autres modèles : on aime, on n’aime pas…
26 février 2004 à 00:00
Sony Ericsson T230 On aime… l’autonomieDepuis toujours, l’autonomie était le point faible des mobiles. Heureusement, la technologie a évolué et les constructeurs équipent aujourd’hui leurs téléphones…
Sony Ericsson T230 On aime… l’autonomie
Depuis toujours, l’autonomie était le point faible des mobiles. Heureusement, la technologie a évolué et les constructeurs équipent aujourd’hui leurs téléphones de batteries beaucoup plus performantes et de taille toujours plus modeste. En haut du podium sur ce critère, le Sony Ericsson dispose d’une autonomie que nous n’avions encore jamais rencontrée : 10 heures en communication !
On n’aime pas… l’absence de touches d’accès direct à certains numéros
Sur la plupart des mobiles, il est généralement possible de programmer un accès direct à neuf numéros de son choix à l’aide des touches du clavier (à l’exception du 1, réservé à la messagerie). Hélas, les concepteurs du Sony Ericsson T230 n’ont pas jugé utile de doter leur téléphone de cette option
Nokia 6100 On aime… l’encombrement réduit
Ceux qui préfèrent garder leur mobile dans la poche de leur jean remarqueront à coup sûr le Nokia 6100. Il est le plus petit (102 x 43 mm) et l’un des plus légers (77 g) avec le Siemens SL55. Et il dépasse ce dernier sur l’épaisseur : avec seulement 17 mm, il pourrait presque s’insérer dans un agenda !
Samsung SGH-X100 On aime… la capacité du répertoire.
Bien moins important que celui du Sagem, le répertoire du Samsung devrait néanmoins convenir aux plus exigeants : il peut gérer 1 000 noms, alors que la plupart des téléphones ne peuvent en gérer que 200 ou 300
On n’aime pas… l’absence de communication avec le PC
Ne comptez pas connecter ce téléphone à votre ordinateur : rien n’est prévu à cet effet, pas même en option. Ni infrarouge ni port série, et encore moins d’USB ou de liaison Bluetooth. C’est d’autant plus curieux que la marque coréenne est d’habitude plutôt innovante, technologiquement parlant
LG 5300i On n’aime pas… l’absence d’options vocales
Pas de mémo vocal, ni de fonction haut-parleur. Ceux qui ne peuvent plus se passer de ces options, il est vrai de plus en plus courantes sur les portables, devront passer leur chemin et choisir un autre modèle
Nokia 3100 On aime… la compatibilité tribande
Alors que tous les téléphones de ce banc d’essai sont bibandes, trois seulement sont tribandes, dont les deux Nokia. Si cela peut paraître un détail insignifiant pour nombre d’utilisateurs, c’est peut-être important pour qui est amené à se déplacer dans certains pays comme les Etats-Unis ou le Japon
On n’aime pas… le look
Au vu du design, on hésite. Si les mobiles avaient existé il y a 15 ans, on l’aurait bien vu sortir d’une usine est-allemande. On pourrait aussi penser au premier abord qu’il s’agit d’un jouet
Siemens SL55 On aime… le look et les dimensions
Pour le design de son SL55 (ci-contre, au-dessus) Siemens a joué la carte de l’audace avec succès. Tout en rondeurs, il dissimule un clavier coulissant. Le SL 55 est aussi un des plus petits du marché, on peut même affirmer que c’est le seul à tenir dans le creux de la main grâce à sa hauteur de seulement 82 mm
On n’aime pas… le prix
Siemens ne fait pas dans la demi-mesure. Parce que son SL55 est un bien bel appareil, ceux qui en rêvent devront débourser plus de 400 euros… pour un téléphone dont la qualité n’est pas à la hauteur des espérances. Conclusion : le Siemens SL55 décroche une mention passable en rapport qualité/prix
Panasonic EB-G60 On n’aime pas…. l’absence totale de liaison avec le PC
Carton rouge pour ce téléphone, pourtant sorti récemment. A l’instar du modèle de Samsung, aucune possibilité de connexion au PC n’est prévue. Ainsi, la seule façon pour sauvegarder ou modifier un répertoire téléphonique sur l’ordinateur est la frappe au clavier nom après nom ! Curieux, d’autant que, sur les modèles actuels, la connexion au micro est de plus en plus proposée, et que les modes de connexion sont désormais multiples : port série, USB, Bluetooth, infrarouge
Philips 350 On n’aime pas… l’autonomie
Allez, un petit effort, Philips ! Alors que sept téléphones sur dix de notre banc dessai affichent une autonomie de plus de 5 heures 30, le Philips tombera en panne de batterie après seulement 3 h 45 de communication
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