Vive l’écran plat ! Elégant, il prend bien moins de place que les moniteurs cathodiques, libère le plan de travail, et permet d’évacuer la question de la profondeur du bureau.
Pratique : l’étagère supplémentaire pour poser l’écran et le rehausser, bien plus esthétique qu’une pile de livres. Idéalement, quand vous êtes assis et que vous regardez devant vous la tête droite, vos yeux doivent être au niveau du bord supérieur de l’écran. Préférez les surmeubles qui prennent toute la largeur du bureau : le dessous de l’étagère offre un espace de rangement supplémentaire pour des CD ou DVD, un hub USB, etc. Seul inconvénient à prendre en compte, notamment en cas de problèmes de vue : l’étagère ne permet pas, par la suite, de rapprocher beaucoup l’écran. Le pied de certains peut aussi être réglé directement en hauteur, pensez-y !
En complément : le porte-documents, accessoire indispensable pour les travaux de saisie. En le plaçant à côté de l’écran, à hauteur des yeux, vous réduisez les mouvements de tête et soulagez vos yeux en leur évitant de fatigants exercices de mise au point.
A éviter : les plans inclinés, vus sur certaines dessertes, inadaptés aux écrans plats qui ont alors tendance à glisser.
Ce sont les grandes oubliées des fabricants de meubles, qui ne leur prévoient pas de supports spécifiques. Reste donc à se débrouiller et à les poser de chaque côté de l’écran. Pour les kits d’enceintes avec caisson de basses, ce dernier sera placé au sol, sous ou à côté du bureau.
L’esthétique prime parfois un peu trop sur le confort. Choisissez de préférence un bureau d’aspect mat et neutre thermiquement. Bref, préférez le bois au métal et au verre.
Pratique : les pieds réglables, pour ajuster la hauteur du bureau.
A vérifier : la stabilité de l’ensemble. N’hésitez pas à malmener un peu le modèle d’exposition, il est là pour ça ! Sur les dessertes à roulettes, préférez les modèles pourvus d’un système de blocage.
Vu son encombrement, c’est sans aucun doute le périphérique qui a le plus de mal à trouver sa place dans votre espace. Accès aux pages imprimées, ajout de papier, remplacement des cartouches : son emplacement doit pouvoir faciliter toutes ces opérations.
Pratique : une étagère coulissante située sur le côté, afin de ne pas encombrer la surface de travail du bureau. L’espace prévu doit être suffisant pour placer l’imprimante, avec le chargeur rempli de feuilles, et le bac de réception ouvert. Pour les modèles à chargement par le dessus, cela fait une grande différence aussi bien en largeur qu’en hauteur !
A éviter : l’imprimante placée au milieu du bureau, pile devant les jambes de l’utilisateur. Il vaut mieux conserver un vide à cet endroit afin de ne pas être gêné et de pouvoir ajouter du papier sans se livrer à quelques contorsions.
A vérifier : la longueur de câble nécessaire. Dans les publicités ou les mises en situation des modèles d’exposition, les câbles sont oubliés systématiquement. Placer l’imprimante en hauteur et l’unité centrale sous le bureau, pourquoi pas ? Mais pourrez-vous les relier avec les câbles dont vous disposez ?
Il n’a pas besoin de beaucoup de place en hauteur : une vingtaine de centimètres suffisent pour mettre en place un document sur la vitre. Ce qu’il lui faut absolument, c’est un emplacement stable.
Pratique : une tablette coulissante ou une étagère accueilleront parfaitement le scanner. Il peut aussi se glisser dans l’espace sous le surmeuble (une tablette graphique également), ou se placer sur ce dernier si la largeur est suffisante.
On peut les laisser en permanence sur le bureau, les glisser sous l’étagère de l’écran ou opter pour une tablette coulissante.
Pratique : la tablette coulissante, que l’on trouve sur de nombreux modèles de bureau. Le petit plus : la tablette coulissante qui prend la forme d’un tiroir avec la face avant amovible.
A vérifier : la largeur de la tablette et sa solidité. Notamment sur les dessertes, les tablettes sont souvent trop étroites pour un usage confortable. Un minimum de 60 cm de large nous semble impératif. N’hésitez pas non plus à tester la robustesse des fixations et fuyez les bringuebalantes.
Agglutinés à vos pieds, les câbles sont rarement pris en compte.
Pratique : certains modèles (plutôt de haut de gamme) prévoient des goulottes dans le châssis du bureau pour les faire circuler et, parfois, une gouttière pour y placer la multiprise électrique qui ne traînera plus par terre.
Comme de plus en plus de jeux et logiciels sont proposés en DVD, il est aussi intéressant de disposer de rangements adaptés. Sur un bureau à tiroirs, vérifiez que leur profondeur permet d’y placer les boîtiers en hauteur. Comptez au minimum 12,5 cm pour un CD, et 13,5 cm pour un DVD. Le plus simple est d’emporter un exemplaire de chaque et de les tester dans les tiroirs des meubles d’exposition.
Placée au-dessus du bureau, l’unité centrale empiète sur l’espace de travail, mais elle est beaucoup plus accessible pour connecter les périphériques, notamment si vous devez jongler avec les prises. Sous le bureau, la tour ne doit en aucun cas vous gêner.
Pratique : l’emplacement spécifique pour poser la tour. Par la suite, cela permet de déplacer le bureau plus facilement, notamment quand il s’agit de passer l’aspirateur…
A vérifier : le panneau arrière du bureau. Pour une bonne ventilation du micro, privilégiez les niches avec de larges ouvertures à l’arrière et sur lun des côtés. Contrôlez aussi que la hauteur prévue est suffisante pour accueillir la tour.