Panasonic révolutionne le paysage de la photo numérique en créant un appareil hybride qui allie la qualité d’image d’un reflex à la facilité d’utilisation d’un bridge
C’est un reflex, un compact, un bridge ? Rien de tout cela. Le Lumix DMC-G1 n’est pas un reflex même s’il en a l’apparence puisqu’il lui manque un viseur optique. Ce n’est pas un compact non plus étant donné qu’il accueille un capteur de grande taille (18 x 13,5 mm) au format 4/3, identique à celui qui équipe les reflex Olympus et Panasonic. Avec cependant une différence notable, le G1 intègre une nouvelle monture d’optique, le micro 4/3 dont le diamètre est bien inférieur à celui de la monture 4/3 classique. Pour finir, contrairement aux bridges qui disposent d’un zoom à très grande amplitude, le DMC-G1 est un appareil à objectifs interchangeables.Ce boîtier hybride se situe ainsi à mi-chemin entre les bridges et les reflex. Aux premiers, il emprunte la visée électronique, aux seconds l’ergonomie et la qualité d’image. En revanche, le G1 fait l’impasse sur la vidéo, une lacune bien navrante, même si cela supposait de devoir faire manuellement la mise au point. En effet, il n’est pas possible, en l’état actuel de la technologie, d’utiliser l’autofocus en mode vidéo sur un appareil à objectifs interchangeables (les Nikon D90 et Canon EOS 5D Mark 2 connaissent également le même problème).
Définition remarquable Le premier contact avec l’appareil est flatteur. Le G1, disponible en trois couleurs, noir, rouge et bleu, a une coque douce et soyeuse, très agréable au toucher. La prise en main est sûre et la plupart des fonctions de l’appareil sont accessibles par le biais de boutons et molettes comme sur un reflex. Le G1 dispose du fameux mode IA qui règle automatiquement les paramètres en fonction des conditions de prise de vue, garantissant presque toujours une photo nette et correctement exposée. La face arrière de l’appareil est presque entièrement occupée par le superbe écran LCD de 7,62 cm de diagonale orientable et pivotant. Le viseur électronique est plus convaincant encore. Offrant une définition remarquable et un rafraîchissement de 60 images par seconde, il est en outre très lumineux et, surtout, largement plus dégagé que les viseurs optiques des reflex d’entrée de gamme. Autre atout : le capteur du G1 est beaucoup plus grand que celui des bridges et des compacts, et par conséquent moins sujet au bruit numérique. De fait, celui-ci est quasi inexistant à 800 Iso et acceptable à 1 600 Iso. L’autofocus s’avère, lui aussi, digne des reflex, avec une latence à la mise au point inférieure à la demi-seconde. Le G1 est fourni avec un objectif équivalent à un 28-90 mm de qualité très honorable. Couplé au capteur de 12,1 mégapixels, il produit des images précises présentant peu de distorsion en grand-angle. Au final, cet appareil de nouvelle génération dispose de nombreux atouts pour séduire les photographes recherchant un appareil très simple à utiliser, compact, et garantissant une qualité d’image comparable à celle des reflex.
Une nouvelle monture optique Pour être aussi compact qu’un bridge, la conception du G1 est basée sur une nouvelle monture optique dénommée micro 4/3. Afin de réduire la distance qui sépare le capteur de l’arrière de l’optique, Panasonic a supprimé le miroir qui dirige la lumière vers le viseur optique au profit de la visée directe par l’écran LCD ou via le viseur électronique. De plus, la monture micro 4/3 offre un diamètre inférieur à celui de la monture 4/3. De fait, les optiques gagnent en compacité et s’avèrent plus étroites. Les optiques 4/3 peuvent être greffées sur le G1 par le biais d’une bague adaptative, mais contre la perte de l’autofocus. Par ailleurs, les futures optiques Olympus au format micro 4/3 seront compatibles.
Un magnifique écran LCD L’écran LCD de 7,62 cm de diagonale est orientable et pivotant, ce qui permet de photographier dans toutes les positions, appareil posé au sol ou maintenu au-dessus de la tête. Surtout, il offre une définition de 460 000 points, soit deux fois plus que les écrans LCD qui équipent les reflex d’entrée de gamme. L’image est nette, précise, sauf lorsque la luminosité fait défaut. L’écran a alors tendance à scintiller. Rien de dramatique cependant.
Prise en main Réactivité Viseur et écran LCD L’objectif du kit Gestion du bruit numérique
Pas de mode vidéo Encore peu d’optiques disponibles
16/20
700 euros env. Avec zoom 14-15 mm
Caractéristiques Type : Hybride bridge/reflexMonture : Micro 4/3Capteur : 12,1 mégapixelsDéfinition maximale : 4 000 x 3 000 pointsZoom optique du kit : 14-45 mm (équivalent 28-90 mm)Écran LCD : 7,62 cm (3 pouces) 460 000 pointsFormats d’image : JPeg, Raw, Raw+JPegViseur : ÉlectroniqueSensibilité : 100 à 3 200 IsoCartes mémoire : SD, SDHCAlimentation : Batterie Li-ionDimensions/poids : 12,4 x 8,4 x 4,5 cm /425 g boîtier nu / 615 g avec le 14-45 mm
Face aux reflex À l’usage, une constatation s’impose : le DMC-G1 s’apparente davantage à un reflex qu’à un bridge, de par sa physionomie et la possibilité de changer d’objectif. Dans ces conditions, pourquoi ne pas choisir un reflex qui bénéficie d’un viseur optique réputé plus précis ? Tout simplement parce que les viseurs des reflex d’entrée de gamme (Nikon D60, EOS 1000D, Olympus E-420…) sont médiocres, voire exécrables. Très étroits, peu lumineux, ils manquent en outre de précision, affichant un cadrage inférieur à l’image réelle. En comparaison, le viseur électronique haute définition du G1 s’avère bien plus convaincant. Il affiche notamment un champ de vision de 100 %, ce qui est remarquable. À titre de comparaison, le viseur optique du reflex haut de gamme de Canon, le EOS 5D Mark II, se limite à 98 %. En outre, le viseur électronique du G1 peut afficher de très nombreuses informations, notamment l’histogramme en temps réel. Mieux, il montre précisément le rendu colorimétrique en fonction du réglage de la balance des blancs, chose impossible sur un reflex. Le G1 dispose d’un autre atout, sa réactivité. L’autofocus est très véloce, rivalisant sans peine avec celui des reflex d’entrée de gamme, et en surpassant même certains.
Baladeur – Apple iPod nano : Toujours plus nano Nouveau look, nouveaux coloris, accéléromètre et capacité de stockage doublée pour la nouvelle version du baladeur à mémoire flash d’apple
Les générations de nano se suivent… et ne se ressemblent pas. La coque en aluminium de l’iPod nano, dit 4G, n’est épaisse que de 6,2 mm et se décline en neuf couleurs. Plus long et plus fin que son prédécesseur, le 3G, il double sa capacité de stockage, pour un prix équivalent. L’écran, lui aussi, est identique. Il n’est toujours pas tactile, mais on retrouve la fameuse molette sensitive pour se balader dans les menus, avancer dans les morceaux ou changer le volume sonore. Sa diagonale de seulement 2 pouces (5,1 cm) est en partie compensée par une excellente définition. Elle s’avère suffisante pour regarder les vidéos de Youtube mais trop petite pour profiter d’une série TV ou d’un film. Et grâce à l’accéléromètre embarqué, il peut basculer automatiquement l’affichage, comme l’iPod touch ou l’iPhone, lorsque l’on change l’orientation du baladeur. Dans le menu musique, le fait de basculer l’écran sert à lancer CoverFlow, la navigation dans les pochettes d’album. De nouveaux jeux exploitent aussi l’accéléromètre, ainsi que la fonction Shake-to-Shuffle : secouez-le vigoureusement… il mélange les morceaux ! La qualité sonore du nano est toujours l’une des meilleures du marché, à condition de changer les écouteurs fournis, qui ont la fâcheuse manie de sortir des oreilles. Mais son gros point noir reste le logiciel iTunes, qu’il faut télécharger, et qui ne sait toujours pas convertir les vidéos. Il faudra recourir à un logiciel tiers (Videora iPod Nano Converter ou Copy-Trans). De plus, il lui manque une radio FM et un égaliseur audio. Autre souci, les photos prises verticalement avec un appareil photo ne sont pas visualisables dans le bon sens. Le nano sera tout de même reconnu par Windows comme un disque dur avec un débit mesuré de 11,7 Mo/s, ce qui est très correct.
Points forts
Qualité sonore Ergonomie Capacité doublée
Points faibles
Les photos ne pivotent pas Pas de radio FM Écran trop petit pour la vidéo
Note
14/20
Prix
À partir de 150 euros env. (8 Go)
Caractéristiques
Type : baladeur audio-vidéo à mémoire flashCapacité : 8 ou 16 Go (200 euros env.)Écran LCD 2″ (5,1 cm), 320 x 240 pointsFormats audio lus : AAC, AAC protégé (iTunes Store), MP3, Audible, Apple Lossless, AIFF et WavFormats vidéo lus : H.264, 640 x 480 points, 30 im./s, avec audio AAC-LC, m4v, MP4 et Mov ; MPeg4, 640 x 480 points, 30 im./s, audio AAC-LC, m4v, MP4 et MovAccessoires fournis : écouteurs, câble USB, adaptateur dock, guide de démarrage rapideCompatibilité : Windows et Mac OSAutonomie : environ 15 h en audio, 4 h en vidéoDimensions/Poids : 9,1 x 3,9 x 0,6 cm /37 g
À notre avis
La quatrième génération de nano convient mieux à l’écoute de la musique qu’à la visualisation de photos ou de films. Il reste un excellent baladeur, même avec un iTunes moins efficace sur le fond que sur la forme.
Serveur domestique – Netgear ReadyNas Duo : Au c?”ur de votre maison numérique Ce boîtier embarque jusqu’à 2 disques durs pour stocker et partager des fichiers entre les ordinateurs du foyer
Un solide boîtier en métal, une installation facile, le ReadyNas Duo vous permettra de stocker et partager des données entre tous les ordinateurs de la maison ou d’un petit groupe de travail. Chacune de ses deux baies peut accueillir un disque dur Sata de 3,5 pouces qui se visse facilement. Vous pourrez donc stocker jusqu’à 3 To de données avec deux disques de 1,5 To. L’appareil est vendu soit avec un châssis vide, soit avec un ou plusieurs disques durs. Une fois relié à votre box ADSL ou à votre routeur, il sera accessible par tous les appareils du réseau domestique, ordinateurs PC ou Mac, consoles de jeux, et certaines platines de salon. Il apparaît immédiatement dans l’explorateur de fichiers de Windows. Très facile à utiliser, le programme de configuration donne accès à une interface Web en français très claire mais peu réactive. Les services disponibles sont très nombreux : serveur de photos, de musiques via iTunes, de vidéos pour lire des films en streaming sur un autre PC ou sur le téléviseur, serveur d’impression pour partager une imprimante, serveur BitTorrent pour télécharger des fichiers même si le PC est éteint. À noter également, sa rapidité (10,1 Mo/s en lecture et 9,3 Mo/s en écriture en Ethernet 10/100 avec le partage Windows), son silence et sa consommation électrique très raisonnable.
Points forts
Interface en français très claire Nombreuses fonctions 5 ans de garantie
Points faibles
La version vendue avec des disques est un peu chère Interface lente Pas de fonction serveur web
Note
16/20
Prix
200 euros env. (boîtier nu)
Caractéristiques
Processeur : infrant IT3107, 280 MHzMémoire vive : 256 MoBaies : 2 slots pour disques 3,5 pouces Sata 1 ou 2 échangeables à chaudNormes Raid : X-Raid (Raid 1), Raid 0Protocoles de transfert de fichiers : FTP, SMB, AFP, NFSServices : FTP, HTTP, Torrent, serveur d’impression, DLNA, iTunes, Photos, UPnP AVConnecteurs : ethernet 10/100/1000, 3 USBCompatible : Windows, Mac OS, LinuxConsommation : 11 W (veille), 27 W (activité)Dimensions/Poids : 14,2 x 10,1 x 22,2 cm/2,1 kgGarantie 5 ans
À notre avis
Le ReadyNas Duo est facile à installer et à utiliser. Préférez la version boîtier nu, plus abordable, et ajoutez-y les disques de la capacité de votre choix.
PC portable – Medion Akoya MD 96380 : Pour les petits budgets Vendu 500 euros, ce 17 pouces possède un niveau d’équipement correct, mais ses performances restent limitées
Si vous avez besoin d’un ordinateur portable à grand écran, mais que votre budget est serré, vous serez sûrement intéressé par ce modèle à petit prix. Pour 500 euros, l’Akoya MD 96380 possède un niveau de performances suffisant pour faire de la bureautique, naviguer sur Internet et regarder des films. En revanche, le processeur et le circuit graphique d’ancienne génération ne sont pas adaptés aux applications multimédias et jeux 3D récents. De plus, le portable ne comporte que 2 Go de mémoire vive. Le niveau d’équipement est pour sa part inégal puisque Medion intègre des sorties vidéo HDMI et DVI-I (compatible VGA avec l’adaptateur fourni), mais l’interface réseau filaire n’est pas Gigabit Ethernet et le Wi-Fi pas de type ‘ n ‘ . Des défauts mineurs à ce niveau de prix. En revanche, le fabricant n’est pas avare en accessoires : sacoche, mini-souris et tuner TNT avec sa télécommande. Au format ExpressCard, ce dernier s’enfiche discrètement dans le port idoine du portable. L’autonomie est plutôt bonne (près de 2h 30 min en lecture vidéo) et le poids restreint pour un 17”. En outre, il se révèle silencieux en fonctionnement. Le revêtement mat de l’écran évite les problèmes de reflets. Quant au clavier, il est correct (dommage que la touche Fin soit mal placée) et le pavé tactile est agréable. En revanche, la webcam et les enceintes intégrées déçoivent.
Points forts
Prix agressif Autonomie Écran 17″ mat
Points faibles
Performances en jeux 3D Processeur Pas de wi-fi ‘ N ‘
Note
15/20
Prix
500 euros env.
Caractéristiques
Processeur : intel Core 2 Duo T5450 à 1,66 GHz (2 c?”urs)Mémoire vive : 2 Go de DDR2Disque dur: 250 Go, Sata (5 400 tr/min)Écran 17”, mat, en 1 440 x 900,16/10, webcam intégréeCircuit graphique : Nvidia GeForce 8600M GS, 256 Mo dédiésGraveur : DVD et CDCommunications : Wi-Fi 802.11g, Ethernet 10/100Connecteurs : 4 USB, 1 ExpressCard/54, sorties vidéo HDMI et DVI-I, prises micro et casqueAutres : lecteur de cartes 4-en-1, tuner TNTLogiciels : Vista Home Premium SP1, Works 9Dimensions / Poids : 39,2 x 27,8 x 4,2 cm/3,25 kg (3,76 kg avec le chargeur)
A notre avis
Un bon rapport équipement-prix mais attention aux jeux vidéo trop gourmands en ressources, car le circuit 3D n’est pas un foudre de guerre.
PC Portable – Lenovo IdeaPad U330 : Une bonne idée mal exploitée Cet ultraportable offre des performances mitigées malgré l’intégration de deux circuits graphiques
Pour 1 000 euros, cet ultraportable est doté de la dernière technologie Centrino 2 d’Intel. Il possède deux circuits graphiques : l’un intégré au chipset de la carte mère et l’autre sur une carte fille. Le premier est moins gourmand en énergie, tandis que le second est plus performant. Le problème est que Lenovo a choisi la puce d’entrée de gamme ATI Mobility Radeon HD3450 comme circuit séparé. Résultat : le portable est inadapté aux jeux 3D gourmands en ressources. Le processeur double c?”ur à 2 GHz délivre des performances suffisantes pour un usage courant. La rapidité du disque dur est correcte, mais la capacité plafonne à 250 Go (contre 320 Go pour la concurrence). L’IdeaPad U330 vous suivra partout car il pèse moins de 2 kg et dispose d’une bonne autonomie (2 h en lecture vidéo). Laqué noir, il intègre une barre de touches sensitives pour le multimédia. On apprécie également le rétroéclairage par diodes (LED) de l’écran. De son côté, le clavier déçoit par son positionnement des touches Fin, PageHaut et PageBas. L’équipement est complet (sortie HDMI, port Firewire et lecteur de cartes) mais ne compte que deux ports USB (côte à côte) et l’interface réseau filaire n’est pas en Gigabit Ethernet.
Points forts
Légèreté et faible encombrement Écran éclairé par LED
Points faibles
Performances 3D Disposition du clavier Seulement 2 prises USB
Note
14/20
Prix
1 000 euros env.
Caractéristiques
Processeur : Intel Core 2 Duo P7350 à 2 GHz (2 c?”urs)Mémoire vive : 3 Go de DDR3Disque dur : 250 Go, Sata (5 400 tr/min)Écran : 13,3”, brillant, en 1 280 x 800,16/10, webcam intégréeCircuit graphique : Intel GMA X4500HD et ATI Mobility Radeon HD3450,256 Mo dédiésCircuit audio : intégré, Realtek HD AudioGraveur : DVD et CDCommunications : Wi-Fi 802.11n, Bluetooth, Ethernet 10/100Connecteurs : 2 USB, 1 ExpressCard/34,1 Firewire, sorties vidéo HDMI et VGA, prises micro et casqueAutre équipement : lecteur de cartes 6-en-1Logiciels : Vista Home Premium SP1, Power 2 Go 5.5, OneKey Rescue 6.0Dimensions / Poids : 31,9 x 23,7 x 3,5 cm / 1,92 kg (2,44 kg avec le chargeur)
À notre avis
Ce portable est bien adapté à une utilisation courante en déplacement (bureautique, Internet, multimédia) mais pas assez puissant pour jouer en 3D.
Chargeur de piles – Uniross Pom : Pomme d’à piles Si vous faites partie des 20 % de Français qui utilisent des piles rechargeables, vous en avez peut-être assez de voir traîner par terre votre chargeur laid et encombrant. Uniross, le spécialiste français des batteries, innove en créant un produit esthétique en forme de pomme. Le concept a été poussé jusqu’au bout : quand on soulève le couvercle du chargeur pour insérer des piles, le support ressemble à un trognon… de pomme. Le Pom recharge jusqu’à six piles Ni-MH au format AAA/R3 ou AA/R6, mais aussi des téléphones, baladeurs, ou tout autre appareil qui se branchent en USB. Un bel objet à mettre en valeur dans le salon.
Note
17/20
Prix
80 euros env.
GPS piéton – Bushnell back track : Retrouvez à coup sûr votre chemin Vous êtes perdu en forêt ou en montagne ? Vous ne retrouvez plus votre voiture ? Ou encore vous avez passé une soirée bien arrosée et vous ne trouvez plus votre hôtel ? Le Backtrack va vous sauver la mise en vous précisant le chemin du retour. Comment ? En vous indiquant toujours le nord, car le Backtrack est avant tout une boussole numérique. Ensuite, l’appareil mémorise jusqu’à trois points grâce à son GPS embarqué. GPS oblige, vous devrez vous trouver à l’extérieur : ceux qui pensaient repérer leur voiture dans un parking couvert seront prévenus ! Pour localiser l’un des points enregistrés, le Backtrack vous indique la direction à suivre et la distance à parcourir (à vol d’oiseau) avec une précision de 3 à 5 mètres. Le Backtrack est utilisable même par des enfants et fonctionne avec deux piles AAA (non fournies). Dommage qu’il soit si cher.
Note
15/20
Prix
70 euros env.
Enceintes 2.0 – Bose MusicMonitor : Du coffre, mais à quel prix ! Ne vous fiez surtout pas à la taille de ces deux petits haut-parleurs de bureau. Ils délivrent un son irréprochable. Le secret de Bose : faire tenir dans chaque boîtier aluminium (6,4 x 12,2 x 12,3 cm) un haut-parleur et un minicaisson de basses ; les graves se propageant grâce à deux évents de 5,3 par 1 cm situés de part et d’autre de la coque. Un système ingénieux qui accompagnera parfaitement un ordinateur portable élégant ou un iPod, mais qui sera insuffisant pour sonoriser correctement une pièce. Enfin, les MusicMonitor ne sont pas à la portée de toutes les bourses. Si vous en avez les moyens, faites-vous plaisir. Sinon, mieux vaut opter pour un bon kit d’enceintes 2.1, encombrant, mais plus abordable et tout aussi efficace.
Note
13/20
Prix
400 euros env.
KVM – Bandridge Mini-USB KVM switch : Travailler sur deux PC à la fois Comment utiliser deux PC avec un seul moniteur, une seule souris et un seul clavier ? Par exemple, un ordinateur de bureau et un ordinateur portable. Grâce à un accessoire spécialisé appelé un KVM (Keyboard Vidéo Mouse). Le modèle de Bandridge est un petit boîtier compact qui se relie aux ports USB et VGA de vos deux PC. La commutation d’un ordinateur à un autre se fait facilement par des raccourcis clavier. L’affichage, sans être parfait, est correct jusqu’en 2 048 x 1 536 points.
Note
15/20
Prix
70 euros env.
Clé tuner TV – Pinnacle PCTV Nano stick ultimate : Quand le logiciel ne suit pas Cette clé tuner télé USB s’annonçait comme un bon produit : miniature, elle était censée recevoir les nouvelles chaînes de la TNT en HD, en plus de celles de la TNT classique (SD), et de les enregistrer dans leur format natif ou en DivX. En pratique, l’utilisation de ce produit tourne pourtant vite au cauchemar : l’installation prend 20 à 30 minutes dont cinq pour la seule recherche des chaînes. TVCenter Pro, l’interface logicielle du tuner, s’avère ensuite compliquée à l’usage et parfois récalcitrante. Impossible de mettre l’image TV en plein écran ni de régler les numéros des chaînes ! Branchée sur une antenne de toit et reliée à un ordinateur portable avec une puce double c?”ur de dernière génération, la réception des chaînes HD est saccadée, avec 80 % d’occupation du processeur et près de 200 Mo occupés en mémoire vive. La réception des chaînes SD est, en revanche, meilleure, mais la licence DivX pour lenregistrement est limitée à 15 jours. Enfin, la télécommande, trop petite, ne permet pas de piloter Windows Media Center. À éviter donc.
Note
5/20
Prix
70 euros env.
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