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Le maillon faible

Dans le test consacré au vidéoprojecteur Optoma HD800X (voir l’Ordinateur individuel n?’ 208, p. 92), vous n’abordez pas l’aspect de la faible durée de vie de…

Dans le test consacré au vidéoprojecteur Optoma HD800X (voir l’Ordinateur individuel n?’ 208, p. 92), vous n’abordez pas l’aspect de la faible durée de vie de ces matériels. J’en suis à mon troisième vidéoprojecteur, un Sony VPL-ES2, acheté il y a trois ans et demi. La durée de vie de la lampe de cet appareil est donnée pour 3 000 heures, soit une utilisation pendant environ dix ans à raison de trois films de deux heures toutes les semaines. Or je n’utilise ce vidéoprojecteur que trois fois par mois au maximum et la lampe vient de tomber en panne, ce qui va me coûter environ 400 euros. Précédemment, j’avais rencontré le même problème avec un vidéoprojecteur Epson, de même qu’avec le premier, un Toshiba qui n’avait fonctionné que 1 500 heures. Pour celui-ci, j’avais engagé une procédure pour vice de fabrication, mais sans résultat : ‘ La preuve du vice de fabrication n’étant pas rapportée. ‘ Bien que tous mes appareils ne bougent jamais (ils ne voyagent pas), sont nettoyés régulièrement au niveau du filtre d’aspiration, la durée de vie des lampes n’atteint jamais la durée annoncée par le fabricant. Je trouve cela scandaleux, d’autant que la lampe casse après la période de garantie d’un an.

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Bruno Carpentier