Le nouveau volet de la saga Silent Hunter abandonne l’Atlantique pour le Pacifique. Exit les U-boats allemands et place aux submersibles américains de la Seconde Guerre mondiale. Si le jeu offre une approche très
réaliste de la gestion d’un sous-marin, le niveau de difficulté peut heureusement être réglé de façon fine, pour novices et joueurs occasionnels. On peut automatiser certaines actions, comme le calcul d’un tir de torpille : en mode manuel, il faut
de nombreuses heures d’apprentissage pour réussir une série de coups au but sur des cibles multiples, lors de l’attaque d’un convoi, par exemple.En plus des objectifs uniques, le jeu intègre une campagne principale couvrant l’ensemble du conflit, et propose diverses missions d’attaque, d’escorte ou d’infiltration. L’interface a été repensée pour offrir une prise en main plus
intuitive. Hormis cela, les innovations sont rares. Les développeurs ont surtout amélioré le rendu graphique. Ainsi, la modélisation de l’eau est surprenante de réalisme. La contrepartie, c’est qu’il faut un PC très puissant pour en profiter. C’est
assez frustrant, d’autant que la définition d’affichage plafonne à 1 024 x 768 points. Plus gênant, Silent Hunter est truffé de bugs, et ce malgré la mise en téléchargement d’un patch le jour même du lancement du
jeu…
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