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L’AGP à bout de souffle

Malgré l’essor du PCI Express, les constructeurs n’ont pas enterré l’interface AGP. Preuve, cette carte graphique de Sapphire, équipée de la puce 3D X1600 d’ATI et…

Malgré l’essor du PCI Express, les constructeurs n’ont pas enterré l’interface AGP. Preuve, cette carte graphique de Sapphire, équipée de la puce 3D X1600 d’ATI et de 256 Mo de mémoire dédiée ; elle est destinée aux possesseurs de PC un peu anciens dépourvus de port PCI Express. Mais les résultats sont mitigés : avec Far Cry, en 1 280 x 1 024 points (la définition native des LCD de 17 et 19 pouces) et malgré l’activation des filtres d’amélioration des graphismes, nous n’avons obtenu que 25 images par seconde. C’est très juste. Et avec Doom 3, 49 images par seconde avec les réglages au minimum, ou 21 images par seconde avec les filtres. Il faut donc faire des choix pour assurer la fluidité des jeux : soit baisser la définition pour profiter d’images détaillées, soit garder la définition native de lécran mais faire une croix sur les améliorations graphiques…

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Christophe Gauthier