Le Web 2.0, qui a déjà deux ans d’existence, serait un ensemble de technologies Internet offrant la possibilité d’agir sur le contenu des pages. Un site tel que Netvibes en est l’illustration parfaite puisque,
effectivement, on peut construire une ou plusieurs pages en choisissant des modules (météo, fils d’actualités, agenda… il en existe à foison) et en les disposant à sa guise. Pareil pour Dailymotion qui, lui, offre la possibilité de
créer son espace personnel, contenant ses propres vidéos, d’ajouter celles produites par d’autres, et même de créer une communauté autour d’un thème.Nous voilà bien loin des pages d’écran figées d’un site classique sur lesquelles il est impossible d’agir : tout au plus, on y joue avec la molette de la souris et on clique ici ou là pour s’échapper
ailleurs. Certes, rien de tout ceci n’est tout à fait nouveau. Avant le Web 2.0, il existait déjà des anneaux de sites (webrings) qui permettaient à leurs auteurs de créer des communautés.Et que sont les forums de discussion, sinon des lieux où les internautes participent au contenu des pages, et donc modifient le site ? Au final, la définition de Web 2.0 est vague. Mais c’est une vague qui amène la
suivante : le Web 3.0…* rédacteur en chef
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