Lorsque Dieu veut mener ses affaires discrètement, il fait appel à ses ‘ anges de main ‘. Cette fois, il vous charge d’anéantir les lieutenants de Lucifer qui menacent d’envahir le monde des vivants. Vous voilà dans un univers à mi-chemin entre le ciel et l’enfer. Au milieu de décors gothiques magnifiquement modélisés va se jouer l’ultime combat. Face à vous, tout ce que les enfers comptent de morts-vivants grotesques et terrifiants. Que la fête commence ! Car c’est bien cela dont il s’agit. Flirtant avec le mauvais goût sans une once de subtilité, Painkiller s’avère pourtant totalement jubilatoire. Lorsque l’on pénètre dans une salle, elle se verrouille et, comme dans une arène, les murs se dérobent et vomissent un flot de monstres. Pour en venir à bout, vous disposez d’un arsenal à la mesure de l’enjeu : fusil à pieux, à pompe, etc., de quoi pulvériser la menace ! Le moindre coup de feu donne lieu à un déferlement d’hémoglobine et de membres disloqués. Le moteur physique Havoc fait ici des merveilles. Les mouvements des ennemis sont ultraréalistes, tant lorsqu’ils attaquent que lorsqu’ils s’écroulent ou qu’ils s’écrasent contre les murs suite à une explosion. Les ‘ boss ‘ de fin de niveau contribuent aussi à la démesure. Certains sont si monstrueux que leur tête se perd dans les nuages !
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