Quelques semaines après Canon, c’est au tour de Nikon de dévoiler son reflex semi-professionnel. Le D200 s’articule autour d’un capteur CCD Sony de 10,2 mégapixels (définition maximale de 3 872 x 2 592 points) au
format DX (c’est-à-dire de même dimension que ceux des D70s et D50). Nikon a soigné la conception du boîtier, entièrement conçu en alliages de magnésium et doté de joints anti-poussières et ruissellements afin de garantir la meilleure robustesse
possible. L’appareil possède un autofocus sur 11 points contre 5 pour le D70s, ce qui lui assure une meilleure couverture du champ de vision. En outre, son système de mesure de la lumière (qui équipe le D2x, le reflex pro de la marque) calcule, en
plus de l’exposition de la scène, la distance entre le sujet et l’appareil. Le mode rafale du D200 autorise jusqu’à 37 vues successives à 5 images par seconde en JPeg. L’appareil intègre un écran TFT de 6,35 cm réglable en luminosité et un
écran monochrome pour le rappel des réglages. Vendu 2 000 euros boîtier nu, il sera proposé à 3 600 euros en kit avec un zoom AF-S 17-55 f/2.8.
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